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jeudi, 07 avril 2005

La route est défoncée

Là, comme ça, en rentrant d'une chtite ballade, une étrange impression : comment se fait-il que, l'été approchant, les routes -- et pas seulement les chemins de traverse que j'adore emprunter pour les restituer dans l'état où je souhaitais les trouver en les découvrant --, oui comment se fait-il que toutes les routes, et même la quatre voies qui mène à Ustaritz me paraisse tous les jours plus défoncée ? Hein, comment se fait-ce que mon postérieur (et surtout celui de mon ""sac-de-sable") soit mis à si rude épreuve ? Et que dire de ma colonne vertébrale ! Bref, comme pour toutes choses dans l'existence, j'ai bien ma petite idée....
Mais tout cela n'a certainement rien à voir avec la multiplication des chantiers... subventionnés à divers titres ou non. Mais tout cela... avec la multiplication... rien à voir.
Mais tout...
Oui, peut-être qu'en fait ce sont mes suspensions qui sont mal subventionnées, au bord de la faillite hydraulique ? Peut-être que sûrement. Plus de 82 000 bornes au compteur, dont pas mal à la charge maxi tolérée par la pauvre Jument bleue. Mouais, la DDE n'est pas coupable de tout (faudra que je songe à changer mon casque, un orange sierrait à la conjoncture sécuritaire il me semble). Donc DDE peut-être même innocente. Carrément. D'autant que, si on n'y regarde de plus près, aucuns des chantiers que j'ai croisé sur la route ne sont l'oeuvre de l'établissement public. Aucun.
Mais, bon, ça y est la cause est entendue, ce sont mes suspensions les fautives. Pour l'amortisseur arrière je crains que la messe soit définitevement noire. Je dois désormais me poser des questions d'ordre existentiel concernant le devenir de ma valeureuse monture...
Ayé, je me les suis posées.
Bon, la réponse, la vraie, je la chercherai encore lors de toutes mes prochaines ballades sur les petites routes du Pays basque nord... Je me demande depuis quand je n'ai plus vu un vrai chantier de la DDE ?... Mais je digresse comme d'hab', mon esprit vagabonde déjà du côté de Labets... Au fait, vous connaissez Labets-Biscay ? Labetze-Biskai en basque... Non ? Ben moi non plus. Pas encore.

Le plébéien aux fesses bleues

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