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Merci de nourrir les poissons en mon absence

dimanche, 15 février 2009

Une saison sans popcorn enfin !

une saison sans popcorn copier.jpg

Rares, très rares sûrement sont les films qui auront suivi un parcours aussi chaotique que celui de notre ami Gaël Mocaër, Une saison sans popcorn, le film sur mon cinéma préféré du monde, l'Atalante. Chaotique fut sa post-production, chaotique son tournage avec des moyens quasi-minimalistes (là je pense en particulier à ma moto utilisée pour un travelling à prise unique rue Sainte Catherine), chaotiques les rapports de son réalisateur avec le conseil d'administration de l'association gérant le cinéma, chaotiques ses si longs mois de montage avec tant d'allers-retours entre Paris et Bayonne, le chaos absolu et définitif aurait même pu être atteint avec cette vaine quête du Graal d'un distributeur pour que le film soit un jour projeté sur les écrans. Au printemps 2008, il finit par trouver un distributeur... au Chili. Distributeur motivé par une projection unique lors du Festival d'Antofagasta le 9 août dernier. Des copies DVD sous-titrées en espagnol furent donc réalisées pour l'occasion... c'est ce qui permit au film d'être projeté une première fois sur la côte basque au Festival d'Amérique Latine de Biarritz le 4 septembre 2008. De là a démarré l'idée du No popcorn on the floor Tour. Faute d'un distributeur pour financer la mise en 35 mm du film, Une saison sans popcorn vivrait sa vie de film dans les festivals internationaux où il rencontrerait enfin un vrai public pour apprécier l'histoire si émouvante de cette salle unique Don Quijote relevant le défi mortel des moulins multiplexes, cette toute petite et belle histoire dans laquelle un autre cinéma semble encore possible. Gaël montrera donc ce magnifique combat à la conférence annuelle d'Europa Cinémas en novembre 2008 à Paris, puis à Utrecht en Hollande, au Festival de Vendôme début décembre, à Bilbao le mois dernier, puis tout récemment... au 27ème Festival International de Films à Téhéran. Prochainement, il devrait être présenté au théâtre Al Kasaba de Ramallah en Palestine (cinéma jumelé avec l'Atalante de Bayonne), à Varsovie en Pologne, Sarajevo en Bosnie, Bristol en Angleterre... et jusqu'à Vladivostok. Après un tel Tour, Une saison sans popcorn aura eu une belle vie de film, mais il n'aura malheureusement pas été projeté une seule fois sur le si bel écran bayonnais dont il promeut si passionnément l'existence.

En toute fin d'année 2008, la « soirée virtuelle à Bayonne » du Monsieur Cinéma de Télérama Aurélien Ferenczi (qui a eu le bon goût de comparer Ariane Ascaride à Mamour... à moins que ce ne soit l'inverse) nous redonna espoir quant à la possible sortie nationale en France du film... et voici enfin que j'apprends quasi incidemment que Gaël a enfin trouvé un distributeur français. Ça y est, c'est officiel, il vient de me le confirmer par courriel et je l'ai vu sur le site de ADR distribution :

Une saison sans popcorn

sort en salles le 29 avril.

Bravo et merci Gaël pour ta ténacité !

vendredi, 22 décembre 2006

Vive le Carnet bayonnais !

 
Les absents ont eu
 
tort.

 

Bon, les compte-rendus, c'est vraiment pas mon truc. Après tout, depuis le temps que vous venez et revenez sur ce si joli blog tout bleu, que vous cliquez sur tous les liens que j'ai mis dans les colonnes de droite et de gauche pour calmer votre frustration de ne guère trouver de nouveauté dans celle du milieu, que vous surveillez le diaporama des films à voir cette semaine (que j'oublie de plus en plus souvent de mettre à jour, hum) et entrez sur le forum de l'Atalante pour constater que le clone du plébéien n'y est pas beaucoup plus actif, depuis tous ces mois où vous étes environ 250 à me rendre quotidienne- ment visite dans mon home sweet home de la blogosphère, je le clame haut et fort (mouais), nul n'était censé ignorer que la dernière édition du Carnet bayonnais pour 2006 vous donnait rendez-vous hier soir, à partir de... disons 19 h 30, à la Taverne de L'Atalante, 7, rue Denis Etcheverry, à Bayonne, au quartier St Esprit, entre la gare et la prison. Alors, tant qu'à choisir, hein, vous auriez dû faire le bon ! Les absents ont eu indubitablement tort.

Il n'est que regarder attentivement cette photo que j'ai extraite du magnifique reportage que je ne publierai ni ici, ni ailleurs, d'ailleurs, ne cherchez pas, les bienheureuses et les bienheu- reux (ralala je m'enlise dans le mysticisme sans honte aucune) étions 14 à table, le nombre magique, deux fois plus fort que le "zazpiak bat" (je vous expliquerai à l'occasion), pas un de plus, pas vous, quoi. Bref, hein, ça donne sacrément envie, hein, ces jolies assiettes, là, hein ! Les desserts de Madame Talante, ralala, de quoi se damner !

C'est fait.

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Cette place était celle de k'No qui n'a jamais su choisir entre fromage et dessert. Encore moins quand on lui suggère de s'en mettre plein la lampe avec gâteau basque, tarte aux pommes, ou/et  à l'ananas et à la noix de coco, crêpes à l'orange... Et il n'a rien laissé. Donc, hein, si vous étiez venus, il ne serait rien resté pour vous. Alors, hein, finalement, pareil que vous avez bien fait de persister dans votre pitoyable boycott de notre génial Carnet bayonnais. De toutes façons, même si nous n'avons pas eu le temps d'aborder l'inacceptable situation judiciaire de Filipe Bidart, même si nous n'avons pas guerroyé à propos du département basque ou des futures élections pié- geuses de cons faute d'opportunité réthorique (poil au dos), vous vous seriez très probablement ennuyés en notre compa- gnie. Alors, hein, faites comme d'hab', continuez à venir me visiter virtuellement sur ce si joli blog tout bleu, comme si de rien n'était. Le jeudi 11 janvier prochain, en 2007, ne venez pas, restez bien au chaud chez vous devant votre écran d'ordi- nateur, d'ailleurs pareil qu'il pleuvra à verse ce soir-là, c'est sans vous que nous recommencerons à banqueter joyeusement en tirant des plans sur la comète à propos de wifi et de rien. Ouais, ad vitam aeternam, les absents auront tort, sauf s'ils sont en prison... ou qu'ils ont un train à prendre.

 

Le plébéien bleu

mercredi, 06 juillet 2005

C’est à Ba-ba, c’est à Yo-yo...

C'est à Neu-neu, c'est à Bayonne :



Bayonne élue à l’unanimité

des plébéiens bleus

pour accueillir

les Jeux Olympiques 2012



Grand OUF de soulagement ce midi à 13 h 49 : ce sera donc Bayonne, plus précisément un des quartiers Nord les plus hup- pés, London, qui accueillera la XXXème édition des olympiades dites modernes. J’avoue très franchement et sans plus aucune pudeur stylistique que j’étais carrément bleu de terreur au mo- ment où le président du CIO, en direct devant plusieurs millions de journalistes hystériques, Jacques Rogge a décacheté l’enve- loppe contenant le nom de la ville élue par les Maîtres du Monde et de ses anneaux de couleurs. C’est à Ba-ba… c’est à Yo-yo… c’est à Neu-neu a-t-il ânonné, m’arrachant un cri de joie et de résurrection tout autant mêlés que tonitruants. Oui, plus l’éché- ance approchait, plus je sentais monter en moi l’évidence des sept années de malheur que signifierait pour la tribu des plé- béiens bleus la désignation de Paris... Paris se rhabille présen- tement, les paillettes et les confetti seront bien vite balayés alors que moi je mets la dernière main à l’arc de triomphe que j’ai improvisé, Argote street, pour célébrer comme il se doit le salvateur événement.

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Il m’aura fallu près de trois heures pour redescendre de mon petit nuage, grâce à Jacques Chirac, je ne serai pas tout de suite obligé de prendre le maquis ou contraint de vendre mon âme à coca-cola ou à mac’do. Oui, c’est Mamour qui me l’a dit, je pou- vais la remercier, remercier les 82 % d’électeurs français qui avaient voté pour Jacques Chirac en 2002. Alors merci Mamour, merci d’avoir supporté ma surtension de toutes ces dernières heures. Merci les Jacques, Rogge et Chirac, merci les Pierre et les Paul aussi, merci le Tour de France qui saura bien vite con- soler les 87 % de Français qui « souhaitaient » ces J.O. à Paris plutôt qu’à Bayonne. Ils m’auront sans nul doute sauvé la vie. En 1998, déjà, par la simple faute d’une allergie au Mondial de foot-ball j’avais été lapidé par ma famille même. D’ici 2012, j’avais 7 années, près de 2600 jours pour me faire écorcher vif, trucider, assassiner deux mille six cent fois. OUF ! Ce n’est probablement que partie remise, mais tant qu’il y a de la vie, y’a de l’espoir… et l’essentiel c’est de participer, non ?

Le plébéien bleu-blanc-beurre

PS. Jean Grenet écourtera-t-il ses vacances en Corse pour venir fêter à Bayonne Nord, comme il se doit cette joyeuse victoire de la Plèbe bayonnaise sur le parisianisme olymfric ?...
Le pape de Livinhac est également cordialement invité, bien en- tendu, à venir "bénir" nos réjouissances à Argote street !

lundi, 20 juin 2005

élu au zapping de cotebasque.net

Bonjour Phil,


C'est avec pas mal de retard que je me décide à t'écrire cette petite lettre ouverte sur mon si joli blog tout bleu. En fait, plus d'une semaine de retard. Mais vieux motard ayant dépassé la quarantaine, ça excuse, non ? Bref, je voulais te remercier ici pour ta tentative de coup de pouce à mes "stats" (en fait, je crains de devoir t'avouer que ta pub n'a été quasiment d'aucun effet sur la fréquentation du Plébéien bleu, mais, bon, on sait ce que c'est avec la pub, hein, un peu comme avec les sondages, n'est-ce pas !)... et surtout pour le texte flatteur qui accompagnait la sélection de mon si joli blog tout bleu dans le zapping de cotebasque.net, le seul et unique génial portail internet généraliste et hétéroclite de la Côte basque, ouf !
Donc, encore merci, et permets-moi, très sincèrement, de te féliciter pour ton bon goût.
Moi aussi, figure-toi, j'ai très bon goût. Mamour ne saurait que le confirmer, je te jure, malgré quelques maldisants qui affirmeraient très facilement le contraire. Mais passons.
C'est avec ce bon goût naturel qui me caractérise que j'ai su sélectionner ton site comme le portail essentiel de mon quotidien d'internaute basque. Et ce depuis déjà plusieurs années. Je n'aurais pas l'impudeur de compter, rassure-toi, ni ton âge ni le mien n'aurait à y gagner il me semble. Ceci dit et pour ceusses de mes si gentils visiteurs qui ne l'auraient pas encore remarqué, je signale que c'est bien à la meilleur place que j'ai mis un lien vers ton "site majeur" (tu en as pas mal d'autres, je crois) et j'en profite pour réitérer ici mon invitation à imiter mon choix fruit d'une longue et jamais contredite expérience.
Vala pour le retour d'ascenseur.
Bon.
Hum, là, je me disais, tant que j'y suis à te faire de la pub, faudrait pareil que je dise deux mots de ton dernier édito. Sur cotebasque.net, l'édito c'est la cerise qui cache l'arbre, la tarte en pleine poire, le meilleur de la niouzelaiteur, le piment dans la sangria, la vague mythique qui efface les tsunami médiocratiques, les plumes du Quetzalcoatl, la plume de Phil quoi ! Ouais, Phil, il est vraiment très plaisant de te lire. Réjouissant. Si je n'étais si timide et modeste, je te solliciterais bien pour faire des commentaires sur mon si joli blog tout bleu !... Mais je n'oserais jamais, c'est sûr. Je n'ose jamais demander aux gens, moi. Je suis comme ça, il faut toujours que j'attende que les choses me tombent du ciel toutes seules, j'ai trop lu Newton dans ma prime jeunesse. On ne s'en remet pas, je te jure.
Re-bref, pour ton édito, je voulais te demander, ta sixième résolution, hein, ça signifie quoi ? C'est le lien manquant vers le site de l'Atalante sur ton portail, ou c'est que tu as en projet de leur en fabriquer un nouveau avec tes petits doigts tout emplumés ?... Tu auras compris que je compte quelques amis du côté de la rue Denis Etcheverry.
Vala-vala. Je sais jamais comment conclure les lettres.
Cordialement, c'est chaleureux mais peut-être un peu trop convenu de la part d'un plébéien bleu.
Aller, je me décide, je fais court, mais tu apprécieras quand même, j'espère.
Adixkideki.



PS. J'en profite pour inviter mes très chers visiteurs à voter en faveur du Plébéien bleu en cliquant sur le bouton que j'ai intégré en bas et à gauche de cette page. Je dois impérativement gri- gnoter des places au top 50. Merci pour vos encouragements.

lundi, 09 mai 2005

Youpi !

1000 ème Visiteur




Ce lundi 9 mai, dans la soirée certainement (mon outil statistique ne me précise pas l'heure et la provenance des connections), et plus précisément le DERNIER connecté de la journée était très exactement le millième. J'ai toujours fantasmé sur les chiffres ronds alors je me devais de marquer tout particulièrement celui-ci en tirant un véritable feu d'artifice sur mon blog à moi tout joli et tout bleu que j'ai. Afin de récompenser pour le bonheur q'il (ou elle) m'apporte ce (ou cette) millième curieu(se)x --hum, mes tentatives de "bi-genrisation" en français ont un rendu parfois des plus "bigenres, vous avez dit bigenres"--, j'organise un grand jeu sans obligation ni interdiction (mais toujours avec censure, toutefois, à l'adresse d'un certain "machinchose") avec un super prix surprise à la clé. Que ceux qui se sont connectés sur Le plébéien bleu de HautetFort le lundi 9 mai 2005, entre 18 heures et minuit disons, me fassent un commentaire sur ce fil. La réponse la plus belle, la plus drôle, la plus touchante, la plus intelligente, la plus bleue en un mot, eh bien, son auteur(e) sera récompensé(e)...

(à suivre)

dimanche, 17 avril 2005

Première sortie de l'anonymat ?

Ce midi, un peu par hasard, j'ai tapé le plébéien bleu dans ma fenêtre de recherche Google, et je suis tombé sur mon blog, bien évidemment. Donc me voici enfin bien référencé sur le net... Mais surtout, ô joie trépignante et immodeste de l'exhibitionniste, j'ai découvert le sîte d'un collègue bloggeur qui m'a remarqué et qui dit même que mon blog à moi il est joli. Le sien, et je ne suis pas seulement poli q;o) me parait bien sympa. De toute évidence, son auteur, un certain Moris Dia m'a l'air fort sympathique et son jugement de très bon goût par ailleurs. Vala.

medium_baiona_moris_dia.2.jpg

Bon, ce n'est évidemment pas encore la reconnaissance universelle puisque l'auteur de Baiona est Bayonnais et que, manifestement, il partage pas mal de mes pôles d'intérêt, mais ce n'est qu'un début, le plébéien bleu saura conquérir... euh, quoi au juste ? Hum, bon, le Moris lui il y passe beaucoup plus de temps que moi sur son blog, y'a pas de secret, il faut savoir souffrir pour être beau. Quoique, la beauté, c'est complétement inutile, non ?... et si subjectif !
Bref, merci à toi Moris, et salutations.

The blue plebeian