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Merci de nourrir les poissons en mon absence

vendredi, 06 mai 2005

Restons vigilants !

Caisseux, éteignez vos feux

si il fait grand jour, de dieu !






Au pays des schtroumphs qui terrorisent indistinctement automobilistes, motards et routiers de tous âges et de tous sexes partout sur les routes d'Hexagonie... au point que, plus besoin de panneau de limitation de vitesse, plus besoin de vrais radars, plus besoin de vrais gendarmes ou de succédanés policiers, nationaux comme municipaux, désormais la folie de l'extrême lenteur s'est emparée de notre vieille Europe toute entière (j'ai tendance à généraliser sans aucun élément de preuve au seul vu du comportement similaire de nos voisins espagnols qui circulent sur les tronçons d'asphalte que j'emprunte régulièrement avec ma Jument bleue). En ville, cela frise l'hystérie : entre 10 et 20 km/h lors de la traversée de Hendaye avant hier.
Bref, il va falloir beaucoup de temps je le crains pour désintoxiquer toute une population du syndrome sarkosien et pouvoir à nouveau rouler dans des conditions à peu près normales.
Dans le même temps je constate, hum, comment dire, comme une amélioration, disons, sur le front des feux allumés en plein jour. De moins en moins de 4 roues et plus continuent à suivre le délire robiennesque qui nous met en danger, nous 2 roues qui roulons depuis des années nos codes allumés afin de mieux signaler notre présence et notre différence aux autres usagers. Cela continue bien sûr à provoquer du n'importe quoi : veilleuses, feux de route, anti-brouillards, en ville surtout (alors que la "préconisation" du ministre ne concerne que le hors agglomération), mais de moins en moins. Cela n'empèche que je continue à être en colère tout rouge après les auto-écoles et les keufs qui continuent quasi-systématiquement à donner le MAUVAIS exemple en allumant leurs feux en ville et en plein jour alors que, si on prend la peine de les interpeller gentiment à ce propos, ils se mettent tout de suite à bafouiller, en reconnaissant (pour les moins malhonnêtes) que ce comportement n'apporte rien de vraiment positif à la sécurité routière en ville... et si j'ai le temps d'argumenter en leur faisant remarquer qu'à cause d'eux on ne me distingue plus (moi motard roulant en code de jour comme de nuit) dans le flot de circulation, alors là le bafouillement se mue en discours anti-motard primaire la plupart des fois. Va falloir que je me décide à rédiger quelques petits courriers persos aux auto-écoles de la région... ou alors suggérer une petite campagne ciblée à la FFMC.
Bref, il est toujours nécessaire de signer la pétition contre les feux en plein jour que je conserverai sur mon si joli blog bleu tant que nécessaire.

Le plébéien bleu en colère

PS. J'ai rarement écrit avec des phrases aussi longues et imbuvables q:o/ prière d'excuser le plébéien bleu en colère, donc, aussitôt calmé je serai de nouveau apte à me concentrer pour écrire plus lisiblement... Hum, je me disais là, tout de suite, à moins que ce ne soit la faute à ce foutu TCE ?

21:50 Publié dans moto | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 07 avril 2005

La route est défoncée

Là, comme ça, en rentrant d'une chtite ballade, une étrange impression : comment se fait-il que, l'été approchant, les routes -- et pas seulement les chemins de traverse que j'adore emprunter pour les restituer dans l'état où je souhaitais les trouver en les découvrant --, oui comment se fait-il que toutes les routes, et même la quatre voies qui mène à Ustaritz me paraisse tous les jours plus défoncée ? Hein, comment se fait-ce que mon postérieur (et surtout celui de mon ""sac-de-sable") soit mis à si rude épreuve ? Et que dire de ma colonne vertébrale ! Bref, comme pour toutes choses dans l'existence, j'ai bien ma petite idée....
Mais tout cela n'a certainement rien à voir avec la multiplication des chantiers... subventionnés à divers titres ou non. Mais tout cela... avec la multiplication... rien à voir.
Mais tout...
Oui, peut-être qu'en fait ce sont mes suspensions qui sont mal subventionnées, au bord de la faillite hydraulique ? Peut-être que sûrement. Plus de 82 000 bornes au compteur, dont pas mal à la charge maxi tolérée par la pauvre Jument bleue. Mouais, la DDE n'est pas coupable de tout (faudra que je songe à changer mon casque, un orange sierrait à la conjoncture sécuritaire il me semble). Donc DDE peut-être même innocente. Carrément. D'autant que, si on n'y regarde de plus près, aucuns des chantiers que j'ai croisé sur la route ne sont l'oeuvre de l'établissement public. Aucun.
Mais, bon, ça y est la cause est entendue, ce sont mes suspensions les fautives. Pour l'amortisseur arrière je crains que la messe soit définitevement noire. Je dois désormais me poser des questions d'ordre existentiel concernant le devenir de ma valeureuse monture...
Ayé, je me les suis posées.
Bon, la réponse, la vraie, je la chercherai encore lors de toutes mes prochaines ballades sur les petites routes du Pays basque nord... Je me demande depuis quand je n'ai plus vu un vrai chantier de la DDE ?... Mais je digresse comme d'hab', mon esprit vagabonde déjà du côté de Labets... Au fait, vous connaissez Labets-Biscay ? Labetze-Biskai en basque... Non ? Ben moi non plus. Pas encore.

Le plébéien aux fesses bleues

lundi, 04 avril 2005

Manif contre les feux

Rassemblement à partir de 14 heures, samedi 9 avril, place de Verdun à Pau. N'oubliez pas de signer la péttion en ligne. Et allez donc faire un tour sur le site de la FFMC tant que vous y étes.

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16:05 Publié dans manifs, moto | Lien permanent | Commentaires (0)