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mercredi, 11 mai 2005

Kepa Junkera à Herri Urrats

Le trikitrix c'est d'la balle

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Dimanche vers 17 heures nous prenions un sacré beau bain de foule à Herri Urrats. Pour ceusses qui n'ont jamais entendu parler de cette géniale fête des ikastolas, je rappelle qu'elle se déroule depuis exactement vingt-deux ans, toujours à la même époque, autour du lac de St Pée-sur-Nivelle. Cette année, selon les organisateurs, elle a tout de même rassemblé près de 85 000 personnes en soutien à la fédération de l'enseignement en basque Seaska. Bref, là je voulais juste dire que nous étions des milliers (un certain Moris Dia parmi eux que je salue au passage, faute d'avoir su le reconnaître) à nous être enfiévrés de bonheur grâce à Kepa Junkera et à son magnifique groupe. Là je songe tout particulièrement aux percusionnistes qui nous ont régalés de leurs nombreux duos à la txalaparta. C'est la première fois que je me prends à vouloir causer musique sur mon blog et j'avoue que la critique musicale ce n'est vraiment pas mon truc. Mais alors pas du tout. Donc, pour ceusses qui n'ont pas eu l'heur d'exulter au concert de ce dimanche dans la poussière de l'esplanade face au podium Araba, je ne saurais que leur conseiller d'acheter les derniers cédés du bouillant musicien basque.
A Herri Urrats, dimanche, il y avait pas mal d'autres groupes très intéressants. Sur la scène Lapurdi, à l'heure du déjeuner, les voix féminines et bas-navarraises de Perruketak et d’Izarrak nous ont plus que charmés. D'y repenser j'ai les poils qui repoussent sur mes bras. Malheureusement il est un chanteur que nous avons loupé, c'est le Brésilien Silverio Pessoa. La programmation pas mal retardée et une certaine acidité du cidre nous auront obligé à opter pour la raison en rentrant largement avant la nuit. Qouiqu'il en soit, une visite chez Mattin Megadenda s'impose...

Le plébéien bleu

19:10 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

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