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dimanche, 29 mai 2005
On a gagné !
Georges W. Bush a perdu !
Giscard d'Estaing a perdu !
Tony Blair a perdu !
Jose L. Zapatero a perdu !
Silvio Berlusconi a perdu !
Gerhard Shroeder a perdu !
Jacques Chirac a perdu !
Le Baron Sellière a perdu !
Machinchose a perdu !
Compatissons ?
NON !
à 100 % chez les plébéiens bleus
22:25 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
savourez et surtout assumez maintenant !
Écrit par : machinchose | dimanche, 29 mai 2005
Sans rancune... quoique... q;o)
Écrit par : le plébéien bleu | lundi, 30 mai 2005
Oups, le commentaire précédent s'adressait bien entendu à mon Machinchose préféré.
Et quant à vous, Jean Noël que je salue bien amicalement, je tiens toutefois à vous mettre en garde contre toute forme d'uniformisation. La France est bien trop grande, heureusement, pour entrer dans un quelconque uniforme. Et mon petit Pays basque aussi, ouf ! Oui, ouf ! car pour moi il s'agit essentiellement d'un soulagement. C'est un peu comme si, pour l'instant, nous avions tout simplement échappé au pire. Parce que là, réellement, le pire était possible. Rien à voir avec certains fantasmes apocalyptiques d'un certain 21 avril d'il y a déjà 3 ans.
Bref, ça redonne la pêche en effet quand précisément les citoyens ne sont pas tous allés à la pêche pour s'occuper des affaires qui nous regardent tous.
Vala. Du coup je vais à nouveau pouvoir causer de ciné, de moto, de plage et de plein de trucs qui me plaisent davantage sur mon si joli blog tout bleu. Bien sûr je causerai aussi pas mal de politique et de contestations en tous genres comme vous le verrez bien très bientôt je pense.
Au plaisir de vous lire, sur mon blog ou sur le votre.
Écrit par : le plébéien bleu | lundi, 30 mai 2005
Ne soyez pas non plus vert de jalousie si le reste de l'Europe poursuit sa marche en mettant la France sur le ban. A moins que vous comptiez, vous et vos amis basques, sur l'"énergie" libérale de Nicolas S. pour relancer tout ça (avec des espoirs indépendantistes ? je ne vous situe pas très bien...)
Bravo pour cet autosatisfaction de nonistes, bien heureux entre eux. Je suis aussi heureux d'apporter une dissonance à votre blog, en général fort sympathique et bien fait.
Écrit par : Lucas | samedi, 02 juillet 2005
Je vais être bref et concis, pour changer un peu. Je n'ai encore jamais réussi à me lier d'amitié avec les amis de mes ennemis. Pour être tout à fait franc, je n'ai jamais consenti le moindre effort de civilité en ce sens. Et je n'en consentirai pas davantage aujourd'hui avec vous. Le sieur Dominique Galouzeau de Villepin est de manière tout à fait incontestable et présentement un de mes principaux ennemis (j'en ai tout plein d'autres, depuis la boue de la plèbe la crème des élites me semblera toujours vomissures), vous vous clamez bloggueusement de ses amis, voire de ses plus viles groupies, alors vous ne serez sûrement pas étonné que je vous réponde ici du moins amènement que je sache.
Allez donc voir ailleurs si j'y suis, Lucas. Le plébéien bleu n'est pas un vain bretteur, d'autres avant vous s'y sont essayés (mais peut-être était-ce déjà vous ?), il mord, très fort, aux couilles de préférence, et puis s'enfuit.
Je n'ai pas censuré votre commentaire, et j'ai même pris quelques minutes de mon précieux temps de loisir pour y répondre. Alors que cela serve de leçon aux prochains importuns. Sur mon si joli blog tout bleu, le premier ministre et président dictateur, sans besoin d'attendre ou espérer une quelconque échéance électorale en 2007 ou en 7002, c'est moi et moi seul.
Alors bonjour chez vous.
Écrit par : le plébéien bleu | samedi, 02 juillet 2005
Mais il est vrai qu'à force de discuter de ce qu'est la sensibilité féminine, ou la masculine, on ne s'est pas mis d'accord sur le sens de départ de la sensibilité. Il me semble, à mon humble avis (car l'humilité en est déjà un des aspects, non?), que PARCE QU'elle est une aptitude à se laisser émouvoir, ou impressionner dans un sens photographique, la sensibilité que l'on reconnaît en soi prend un autre visage aussi : on se met à penser qu'en face de soi il peut y avoir une personne sensible également, qui peut donc ressentir les choses aussi fortement que l'on en est capable. Aussi évite-t-on de n'être sensible qu'à ce qui nous arrive, pour l'être à ce qui peut toucher l'autre. Aussi garde-t-on dans la mesure du possible le souhait cher à Sénèque de traiter l'autre comme on voudrait l'être soi-même. Pareille maxime évite de tomber dans des débordements mal venus, mal contrôlés, plus faciles à exprimer en tout cas qu'une discussion calme et courtoise. Je trouverais regrettable qu'il soit impossible ici, alors que ça ne l'est déjà que trop ailleurs, de garder un langage policé.
A moi, ça me ferait du bien, et même, ça m'est nécessaire.
Écrit par : colin | dimanche, 03 juillet 2005
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