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Merci de nourrir les poissons en mon absence

mercredi, 22 juillet 2009

Ouverture des Fêtes de Bayonne...

...et lancer de clés

bandeau bayonne-usb 2.jpg

 

BAYONNE-USB

 

Pour cette édition 2009 des Fêtes, nous, le Carnet Bayonnais (groupe de sympathiques blogueurs du Pays Basque) organi- sons une ouverture inédite et conviviale. En parallèle à la cérémonie officielle, nous donnons rendez-vous à tous les e-Festayres place de la République pour un lancer de clés... USB.

Le but de cet événement est d'ouvrir aux Fêtes traditionnelles de nouveaux horizons numériques. Sur le mode contributif ces e-Fêtes s'adressent à toutes et tous, puisque ces clés sont appelées à circuler de main en main et recevoir des contributions électroniques (photos ou textes) en rapport avec les Fêtes de Bayonne. Ces témoignages seront ensuite publiés sur le site bayonne-usb.net.

Venez nombreux nous rejoindre place de la République (quartier Saint-Esprit), ce mercredi 29 juillet, à 22 heures pétaradantes.

Le Carnet bayonnais

mardi, 15 août 2006

Mes vacances avec Marine Le Pen

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Pour fuir les

 

fêtes de Bayonne

 

 

Les vacances au mois d’août, enfin, au moins la première quinzaine, quand on est Bayonnais ou voisin de la capitale que les Basques du nord voudraient confisquer aux colporteurs de gasconnades, c’est généralement l’occasion pour jouir pleinement de ces fêtes que je me refuserai toujours à appeler « feria ». Généralement. Plus plébéiennement et carrément bleue, c’est pour moi l’opportunité de fuir ces journées et ces nuits de folie que d’aucuns n’hésitent pas à qualifier de liesse populaire. Je ne jouerai pas sur les mots. Cette année encore j’ai fui… et jusqu’à mon retour de vacances, je persistais à assumer plutôt crânement mon soi-disant boycott. Des raisons à invoquer pour justifier ma fuite (c’est tout de même le seul mot juste, alors je m’autorise la répétition), j’en ai évidemment tout un catalogue, plus ou moins politiques, plus ou moins économiques, très culturelles, mais essentiellement d’ordre caractériel, je dois le reconnaître, car je suis et demeure un caractériel, malgré mes efforts incessants pour contrôler les coups de sang derrière lesquels je dissimule toujours péniblement mon agoraphobie. Bref, comme cette année les augures de la commission municipale des fêtes annonçaient une énième augmentation exponentielle de la foule des festayres qui pourraient même dépasser le million… le million, le million, le million !... je n’ai pu en déduire qu’une fois encore, la fuite serait pour moi synonyme de survie. Donc, trois jours avant l’ouverture officielle, alors que les employés municipaux guantanamoïsaient tout ce que Bayonne compte d’espaces verts et de ronds-points fleuris, avec ma complice et dans sa grenouille roulante, nous prenions la grand-route du nord, là aussi à contresens du flux touristique généralisé, direction la Bretagne, plus précisément celle du Morbihan, pour une première étape au pays natal de Jean-Marie où le vert et le gris se mêlent sur terre comme dans le ciel… euh, sauf quand il fait beau et que nos pas croisent ceux de Marion Anne Perrine, fille benjamine du Jean-Marie sus évoqué, brisant net mon élan poétique et les traditions météorologiques…

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