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dimanche, 10 juillet 2005
Je roule des mécaniques
Quand l'espoir s'habille en noir
Je roule des mécaniques
Nique-nique
J’enroule la mécanique
Sur le ruban d’asphalte à ligne continue
Aligne-aligne, aligne les kilomètres
Des kilos de fourmis dans les jambes
Des kilos de fourmis dans les poignets
J’empoigne mon destin et le rive à la mire de l’horizon
Loin-loin, plus loin que la ligne droite
Plus loin encore m’attendent les virages
Une série de virages serrés
Serrer-serrer, serrer les dents sans jamais freiner
Sans jamais-jamais, jamais douter du destin
Le dédain pour la peur qui me va comme un casque
Un casque avec la pointe en dedans
Qui me va qui me vient et qui ne s’enfuit jamais
Jamais-jamais
Jamais tant que la route s’enroule sous mes roues
Jamais quand je roule
Quand s’écroule mon destin
Jamais la peur ne me fera freiner
Jamais la peur
Mais l’Amour
L’amour de la vie l’amour de ta vie…
Je plante droit la machine
Chine-chine
La main crispée sur mon instinct
A l’entrée de la courbe, je rentre deux vitesses
Freiner-freiner, freiner enfin
Freiner enfin et me retourner
Pour regarder tes yeux bleus dans le casque
Tes yeux qui rient tes yeux qui pleurent
Dans tes yeux qui n’ont pas peur
Tes yeux qui me feront toujours confiance
Me retourner avant de nous jeter tous les deux
Tous les deux ensemble soudés à la mécanique
Nous jeter ensemble sur la plus belle trajectoire
Roule-roule, roule ma Jument bleue
Je nous relève d’un regard lancé au loin
Mon regard qui commande à la mécanique
Qui commande au destin
Mon regard c’est le tien qui se pose déjà
Loin vers la sortie de l’autre courbe
Loin-loin au-dessus de mon épaule loin
Et c’est toi maintenant qui nous jette vers l’espoir
L’espoir qui s’habille aussi en noir pour se protéger
Pour se protéger et y croire encore
Y croire encore, ce soir.
Nique-nique
J’enroule la mécanique
Sur le ruban d’asphalte à ligne continue
Aligne-aligne, aligne les kilomètres
Des kilos de fourmis dans les jambes
Des kilos de fourmis dans les poignets
J’empoigne mon destin et le rive à la mire de l’horizon
Loin-loin, plus loin que la ligne droite
Plus loin encore m’attendent les virages
Une série de virages serrés
Serrer-serrer, serrer les dents sans jamais freiner
Sans jamais-jamais, jamais douter du destin
Le dédain pour la peur qui me va comme un casque
Un casque avec la pointe en dedans
Qui me va qui me vient et qui ne s’enfuit jamais
Jamais-jamais
Jamais tant que la route s’enroule sous mes roues
Jamais quand je roule
Quand s’écroule mon destin
Jamais la peur ne me fera freiner
Jamais la peur
Mais l’Amour
L’amour de la vie l’amour de ta vie…
Je plante droit la machine
Chine-chine
La main crispée sur mon instinct
A l’entrée de la courbe, je rentre deux vitesses
Freiner-freiner, freiner enfin
Freiner enfin et me retourner
Pour regarder tes yeux bleus dans le casque
Tes yeux qui rient tes yeux qui pleurent
Dans tes yeux qui n’ont pas peur
Tes yeux qui me feront toujours confiance
Me retourner avant de nous jeter tous les deux
Tous les deux ensemble soudés à la mécanique
Nous jeter ensemble sur la plus belle trajectoire
Roule-roule, roule ma Jument bleue
Je nous relève d’un regard lancé au loin
Mon regard qui commande à la mécanique
Qui commande au destin
Mon regard c’est le tien qui se pose déjà
Loin vers la sortie de l’autre courbe
Loin-loin au-dessus de mon épaule loin
Et c’est toi maintenant qui nous jette vers l’espoir
L’espoir qui s’habille aussi en noir pour se protéger
Pour se protéger et y croire encore
Y croire encore, ce soir.
19:10 Publié dans poésie sur fond bleu | Lien permanent | Commentaires (0)
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