samedi, 26 décembre 2009
Eguberriko oparia - Cadeau de Noël
Un vraiment magnifique cadeau de Noêl pour les internautes basques !
14:51 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 15 novembre 2009
Des Cubaines aux voix de jade
17:38 Publié dans copinage, Musique | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 24 mai 2009
BIHOTZETIK - COUP DE COEUR
Comme ça, c'est dimanche, un peu gris, un temps propice à la mémoire et peut-être aussi à sa transmission. En surfant sur internet, je retombe un peu par hasard sur le remix d'un clip de MKA, un groupe très rap et très basque. Et une grosse envie de faire partager ce moment. Alors, je le mets en ligne. Mon si joli blog tout bleu peut aussi servir à ça.
17:37 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (1)
mercredi, 13 juillet 2005
Quand je pense à Fernande...
Lavilliers à Séte,
je bande, je bande...
Bien étrange impression qui m'habite (hum !) quand depuis le cerveau reptilien me remonte à la mémoire, pour une raison chaque fois inexplicable, cette antienne, cette ritournelle de corps de garde. Quand je pense à Fernande... quand je pensais à Fernande, eh bien, c'est à ma mère que je pensais, forcé- ment, alors... la bandaison, tout ça, évidemment, comme je n'ai jamais su déterrer Oedipe, vous vous doutez bien que ça se passait dans les chaussettes. Je n'ai jamais connu de Félicie, au sens biblique je veux dire, ni même de vue, donc, pas acte mécanique non plus. Pour 'Léonor, j'ai beau creuser dans mon book, ça ne remonte guère davantage (hum !). Et quant à Lulu (hum-hum !), disons que ça ne vous regarde pas. Voilà.
Bref, là, présentement, je suis disons en "repérage" sur Séte. Dans l'Hérault. Pour d'éventuelles et ultérieures vacances. Du 24 au 29 juillet prochains d'y déroulera la 3ème édition d'un très sympa festival de la chanson française au titre... disons des plus engageants. Je suis tout particulièrement tenté par le concert de Bernard Lavilliers le 29... et peut-être aussi Mano Solo le 25. Faut voir. Ce sera très certainement la hauteur du budget qui décidera de celle de mon érection culturelle sétoise. Quand je pense à Muriel, je bande jusqu'au ciel...
Le plébéien bleu
08:35 Publié dans Musique, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 10 juillet 2005
Quel heure est-il Monsieur Arthur ?
9 h 1/4 Monsieur
Tête de Chou au Lard
A l’occasion de La Ruée au Jazz 2005 (que j’ai choisi de pro- mouvoir sur mon si joli blog tout bleu comme un des rendez-vous essentiels de l’été), un partenariat avec les cinémas d’art et essai de Bayonne (l’Atalante et l’Autre cinéma) s’est mis en place afin d’organiser un week-end entier, du 8 au 10 juillet, autour du thème Jazz et Documentaire. Six films documentaires + quatre longs métrages auront été ainsi programmés et pro- jetés à l’Autre cinéma. Sur le papier, un super programme, mais, malheureusement, la faute au beau temps, hum, à l’été, aux barbecues et aussi un peu à Voltaire sûrement, mais le pu- blic n’a pas répondu présent à cette si sympathique invitation, ou alors avec une extrême modération numérique si vous vou- lez bien me passer l’expression. Même le Plébéien bleu soi-même n’a été aperçu que le samedi soir, s’impatientant pour visionner le documentaire de Laurent Hasse, espérant ainsi faire mieux connaissance avec un chanteur qu’il appréciait déjà plutôt beaucoup sans l’avoir jamais trop écouté (le visiteur n’aura pas été sans remarquer que la rubrique musique est des plus indigentes sur ce blog) : Arthur H. Pour dire. Bref, c’était vraiment génial. Génial-génial, même, et tant pis pour toutes celles et tous ceux qui auront donc loupé la séance unique.
Tant pis…
Comme il sera quasiment impossible de revoir ce très joli por- trait d’un musicien à «la tête de chou» fleurie de poésie avant, heu, disons les calendes bayonnaises qui ne sont guères plus fréquentes que les grecques, je conseille du plus lourdement que je puisse (meuh non, je ne menace pas !) à tout un chacun et une chacune de cliquer sur la photo ci-dessous afin de faire connaissance avec la discographie plus ou moins complète de l’artiste. Bien évidemment je persiste à m’abstenir de toute publicité commerciale. Faites comme vous le sentez, moi j’irai sûrement fureter dans les bacs du côté de la place Saint André.
Mister Robinson
20:40 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (1)
mercredi, 11 mai 2005
Kepa Junkera à Herri Urrats
Le trikitrix c'est d'la balle
Dimanche vers 17 heures nous prenions un sacré beau bain de foule à Herri Urrats. Pour ceusses qui n'ont jamais entendu parler de cette géniale fête des ikastolas, je rappelle qu'elle se déroule depuis exactement vingt-deux ans, toujours à la même époque, autour du lac de St Pée-sur-Nivelle. Cette année, selon les organisateurs, elle a tout de même rassemblé près de 85 000 personnes en soutien à la fédération de l'enseignement en basque Seaska. Bref, là je voulais juste dire que nous étions des milliers (un certain Moris Dia parmi eux que je salue au passage, faute d'avoir su le reconnaître) à nous être enfiévrés de bonheur grâce à Kepa Junkera et à son magnifique groupe. Là je songe tout particulièrement aux percusionnistes qui nous ont régalés de leurs nombreux duos à la txalaparta. C'est la première fois que je me prends à vouloir causer musique sur mon blog et j'avoue que la critique musicale ce n'est vraiment pas mon truc. Mais alors pas du tout. Donc, pour ceusses qui n'ont pas eu l'heur d'exulter au concert de ce dimanche dans la poussière de l'esplanade face au podium Araba, je ne saurais que leur conseiller d'acheter les derniers cédés du bouillant musicien basque.
A Herri Urrats, dimanche, il y avait pas mal d'autres groupes très intéressants. Sur la scène Lapurdi, à l'heure du déjeuner, les voix féminines et bas-navarraises de Perruketak et d’Izarrak nous ont plus que charmés. D'y repenser j'ai les poils qui repoussent sur mes bras. Malheureusement il est un chanteur que nous avons loupé, c'est le Brésilien Silverio Pessoa. La programmation pas mal retardée et une certaine acidité du cidre nous auront obligé à opter pour la raison en rentrant largement avant la nuit. Qouiqu'il en soit, une visite chez Mattin Megadenda s'impose...
Le plébéien bleu
19:10 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)