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jeudi, 31 août 2006
Prochainement à L'Atalante ?
Je n'ai pas l'habitude de relayer ici la "communication" des grosses entreprises de distribution cinématographique... et puis, même qu'on me le demanderait "poliment", je refuserais, com- me ça, par principe, parce que je suis et entends demeurer un électron libre, un plébéien bleu, un Robinson Crusoé du premier rang des salles uniques, plus ou moins obscures... Bref, là je me suis fait avoir, en quelque sorte. Je relaie, sans me poser la moindre question, comme ça, juste pour le fun... pour le coup de coeur. Et puis, Mars Distribution, ils sont pas si gros que ça... Et puis, le film, il a l'air vachement bien... J'en causerais probablement sur ce si joli blog tout bleu, et ailleurs... Si je parviens à me remotiver pour écrire à nouveau sur les films que je vois... Et puis, Jamel Debbouze, je l'aime plutôt bien... D'ailleurs, qui oserait dire qu'il n'aime pas Jamel ?... à part, et encore peut-être, c'est même pas sûr, Marine Le Pen...
22:50 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 27 août 2006
Concours gastronomique
Dans le cadre de l’initiative Festival Baiona, est organisé un concours gastronomique dont les réalisations seront consom- mées au cours d’un repas.
Ce concours aura lieu le dimanche 17 septembre 2006, en matinée, dans les locaux du Vigilant à Saint Esprit ; les repas seront servis vers 13h30 sur le même lieu (accès par la rue du Général Bourbaki).
La finalité du concours gastronomique est de pouvoir organiser, à moindre coût, un repas convivial pour 200 ou 300 personnes. Cette année, nous vous invitons également à réaliser des desserts ; comme il serait trop compliqué de les préparer sur place, ils seront réalisés par vous, chez vous, et amenés le dimanche (ou dès le samedi) sur le lieu du repas.
19:20 Publié dans Blog, copinage | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 21 août 2006
Quand le vent se lève sur L’Atalante
Démission
impossible
Depuis le début de l’été, le bruit court partout dans Bayonne : Ramuntxo quitte L’Atalante, Ramuntxo s’en va… Et pourtant, dans le même temps, rue Denis Etcheverry, tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes… du silence. La salle vient d’être entièrement rénovée avec de superbes sièges rouges et quelques huit fauteuils dépareillés histoire de refuser une fois de plus l’uniformisation des cultures (je m’assois désormais dans un fauteuil assorti à mon si joli blog tout bleu et j’en suis plutôt très fier), et le sol est habillé d’une moelleuse moquette au motif ocelot en hommage au réalisateur de Kirikou qui devrait très bientôt parrainer officiellement la salle de L’Atalante. Après ces quelques semaines de vacances, tous les salariés paraissent souriants, plus avenants et dynamiques que jamais, le directeur en tête… et pourtant…
00:30 Publié dans Cinéma, politique | Lien permanent | Commentaires (3)
L'offre d'emploi
Pour répondre à l'annonce, vous pouvez également "mailer" le Président de l'association en cliquant sur l'annonce.
Le plébéien bleu
00:15 Publié dans Blog, Cinéma, copinage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : offre d'emploi
mardi, 15 août 2006
Mes vacances avec Marine Le Pen
Pour fuir les
fêtes de Bayonne
Les vacances au mois d’août, enfin, au moins la première quinzaine, quand on est Bayonnais ou voisin de la capitale que les Basques du nord voudraient confisquer aux colporteurs de gasconnades, c’est généralement l’occasion pour jouir pleinement de ces fêtes que je me refuserai toujours à appeler « feria ». Généralement. Plus plébéiennement et carrément bleue, c’est pour moi l’opportunité de fuir ces journées et ces nuits de folie que d’aucuns n’hésitent pas à qualifier de liesse populaire. Je ne jouerai pas sur les mots. Cette année encore j’ai fui… et jusqu’à mon retour de vacances, je persistais à assumer plutôt crânement mon soi-disant boycott. Des raisons à invoquer pour justifier ma fuite (c’est tout de même le seul mot juste, alors je m’autorise la répétition), j’en ai évidemment tout un catalogue, plus ou moins politiques, plus ou moins économiques, très culturelles, mais essentiellement d’ordre caractériel, je dois le reconnaître, car je suis et demeure un caractériel, malgré mes efforts incessants pour contrôler les coups de sang derrière lesquels je dissimule toujours péniblement mon agoraphobie. Bref, comme cette année les augures de la commission municipale des fêtes annonçaient une énième augmentation exponentielle de la foule des festayres qui pourraient même dépasser le million… le million, le million, le million !... je n’ai pu en déduire qu’une fois encore, la fuite serait pour moi synonyme de survie. Donc, trois jours avant l’ouverture officielle, alors que les employés municipaux guantanamoïsaient tout ce que Bayonne compte d’espaces verts et de ronds-points fleuris, avec ma complice et dans sa grenouille roulante, nous prenions la grand-route du nord, là aussi à contresens du flux touristique généralisé, direction la Bretagne, plus précisément celle du Morbihan, pour une première étape au pays natal de Jean-Marie où le vert et le gris se mêlent sur terre comme dans le ciel… euh, sauf quand il fait beau et que nos pas croisent ceux de Marion Anne Perrine, fille benjamine du Jean-Marie sus évoqué, brisant net mon élan poétique et les traditions météorologiques…
02:40 Publié dans clochetonnage, écrits sur fond bleu, Voyage | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : fêtes de bayonne