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dimanche, 23 septembre 2007
Tchao l'artiste !
12:10 Publié dans Hommage | Lien permanent | Commentaires (1)
vendredi, 21 septembre 2007
Proibido proibir
Y' a pas à dire, la terre tourne de moins en moins rond en ce moment ! Moi je préfère fuir, pour cette soirée dédiée aux rubipèdes je veux dire, avant que le ciel ne me tombe sur la tête.
17:20 Publié dans Cinéma, copinage, Grave-patrie | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 16 septembre 2007
Remodelage et mises à jour
TRAVAUX
Après des mois et des mois d'une injustifiable hibernation esti- vale, ce si joli blog tout bleu va peut-être reprendre quelque activité. Mais, bon, les résolutions, on sait tous ce que c'est, ça va, ça vient... il n'y a que les actes qui comptent... et j'en ai tout de même posé quelques uns, des actes, pour tenter de re- conquérir un début de crédibilité sur la blogosphère bayonnaise. D'abord, je crois m'être décidé pour un remodelage un petit peu définitif de la présentation de mon blog perso (je ne vais plus trop tarder à présenter ici mes autres blogs, disons un peu plus collectifs, faut juste que je créé une nouvelle rubrique pour ça) : le blog du plébéien bleu doit vraiment être tout bleu, et maintenant il l'est. N'est-il pas encore plus joli et touchy ainsi ? N'hésitez surtout pas à me laisser des commentaires de félici- tations et d'encouragement ! Je suis sûr que j'adorerai.
Bon, le chantier de rénovation ne s'arrête pas à l'aspect global, j'ai entamé une sérieuse remise à jour des colonnes qui pren- dra probablement encore quelques semaines. Je viens ainsi de compléter la rubrique du Carnet bayonnais en y corrigeant cer- tains liens obsolètes ou déficients, et surtout en y rajoutant tout ceux qui manquaient. Je cite, et en vrac, le Clément qui semble lui aussi à nouveau rempli de jolies résolutions pixellisées sur le tout nouveau blog personnel qu'il vient de fabriquer de ses doigts experts ; mon obsédé préféré des petite fleurs et des papillons, PRAX, qui nous met le bleu aux joues avec ses peti- tes histoires à lire dans toutes les positions ; notre Manu qui s'exerce un peu trop épisodiquement à explorer le côté obscure de la farce ; et puis CAT qui s'entête à vouloir tempérer l'optimisme de la raison par le pessimisme de la volonté, et tout ça pour que les mots et les images se dénudent en beauté ; et aussi RIOTGIRL qui pixélise comme une championne en dégai- nant son APN sur tout ce qui bouge ; et encore pas mal d'autres petits nouveaux et moins nouveaux que vous découvrirez en cliquant dans la colonne de droite... Ne manquez pas de rentre visite régulièrement à tout ce joli petit monde !
Le chantier continue, donc, et il me reste toujours et tout de même l'essentiel : remplir cette fichue colonne du milieu qui, de stagnation en glaciation, persiste à bleuir de trac dans l'attente d'une inspiration si prétentieuse !
18:15 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2)
lundi, 10 septembre 2007
De Sicko et de Michael Moore
Bonne rentrée...
bonne santé !
Je ne sais pas vous, mais moi, quand je discute de cinéma avec des amis d’enfance que je n’avais plus vus depuis, pouf, au moins quinze ans, c’est systématique, les amis en question me confient que, oui, franchement, tant qu’à voir un film et devoir payer pour ça, même si c’est à l’Atalante, bien sûr, autant que ce soit pour le plaisir. Ouais, rigoler un bon coup, ou au moins sourire, se distraire (selon le sexe de l’interlocuteur(trice), quelques détails supplémentaires de mise en scène spécifiquement indispensables peuvent s’avouer sans trop rougir), passer un bon moment, quoi. Et surtout pas se prendre la tête, ou pleurer sur toute la misère du monde qui, personne n’oserait le nier, est évidemment plus révoltante et universelle que jamais, mais, bon, chaque chose en son temps, n’est-ce pas, ça fait combien qu’on s’était pas vus, pouf-pouf, je sais plus… c’était à une manif je crois… pour Seaska… ou pour les prisonniers… oh non, c’était en 95, tu te souviens, 1995, au siècle dernier, quand on occupait la gare d’Hendaye, cheminots et chômeurs ensemble… Non-non, c’est bien plus récent, c’était d’ailleurs à l’aube de ce troisième millénaire, en 2002, et c’était sous une affiche de cinéma, Bowling for Columbine. Un Michael Moore, comme aujourd’hui. Ouais, on s’était même bien engueulés à son propos. Ouais, avec Michael Moore on n’est jamais vraiment déçu, pire, on se prendrait presque d’affection fraternelle pour les Amerloques. Enfin, pas tous, bien évidemment. Faut choisir son camp. Et avec Michael Moore, c’est tellement démonstratif que l’on ne peut guère hésiter au-delà du premier quart d’heure de film avant de, pour le moins, maudire tous les Roger, Georges W. et autres maîtres consorts de la terre… sauf à être un fan absolutiste de la controverse.
Robert a adoré le film. On s’est retrouvés, après la projection, à la Taverne de l’Atalante, devant deux verres de bière joliment faux-colisés. Il dit que c’est sans nul doute le meilleur de Michael Moore. J’ai hésité un instant mais je n’ai finalement su qu’en rajouter en opinant qu’il aurait bien mérité la Palme d’Or à Cannes, ce Sicko-là. Mais son film n’était pas en lice, qu’il m’a cloué, le Robert… et puis, 4 mois, 3 semaines et 2 jour, le film de Cristian Mungiu la méritait sans le moindre conteste, cette Palme 2007 ! Ouais, n’empêche qu’encore une fois, le Michael m’en a foutu plein la poire, et avec le sourire en plus. Plus cyniquement humain que jamais, il parle aux Européens pour mieux interpeller les Ricains et il cible l’Américain moyen pour plus lucidement encore nous interloquer. Ça me rappelle une discussion avec un ami qu’il va falloir que j’envoie voir ce film sans faute. Il me disait comme ça, là, sans réfléchir, si tu avais la possibilité de choisir, si tu devais impérativement choisir entre, la santé, la liberté ou l’amour, qu’accepterais-tu de sacrifier pour préserver l'essentiel ? Rien, que je lui ai répondu, je refuse de sacrifier quoi que ce soit. Mais tu es obligé de choisir, tu dois sacrifier un des trois. Lequel des trois, hein ? L'amour ? La santé ? Ta liberté, tu sacrifierais ta liberté ? Non, non et non, jamais de la vie !… et surtout pas la santé !
23:20 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 04 septembre 2007
L’Arche de Zoé au Darfour
Voilà quatre ans que dure le conflit du Darfour, à l’ouest du Soudan. Quatre ans que des millions de civils innocents, pour la plupart des femmes et des enfants, sont massacrés, torturés, violés, pillés, affamés et chassés de leurs villages par la dictature islamiste du gouvernement soudanais ou les milices qu’il a armées, les Janjaweeds.
De très nombreux rapports des Nations Unies et de diverses ONG ont dénoncé les atrocités commises sur les populations civiles, les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité perpétrés par les intégristes de Khartoum. Sans effet !
De nombreux médias ont montré au monde entier les images insoutenables de cette population martyrisée, des « people » se sont mobilisés, des collectifs de soutien à la population du Darfour ont été créés dans plus de 50 pays… Mais l’indifférence générale persiste.
L’Arche de Zoé, association humanitaire œuvrant au secours des enfants depuis le Tsunami du 26 décembre 2004, lance une opération d’évacuation des enfants orphelins du Darfour. Elle propose aux familles d’accueil qui le souhaitent de venir en aide et de prendre en charge dans leur foyer un enfant orphelin de moins de cinq ans, réfugié de la guerre au Darfour.
Quelques familles au Pays basque aussi ont répondu à cet appel et, sensibilisé personnellement, je me fais un devoir de relayer ici la campagne de soutien financier d’urgence qu’ils viennent d’initier.
L’Arche de Zoé
23 rue Hallé
75014 PARIS
23:45 Publié dans elkartasuna-solidarité | Lien permanent | Commentaires (7)
Carnet bayonnais de rentrée
L’été plébéien est fini !
Il n’y a plus de saisons ma bonne dame, je dirais même pire, c’est la rentrée ! Météo mise à part, faut quand même pas en faire un drame, la guerre totale n’est pas pour demain, elle attendra bien encore deux ou trois 11 d’un mois en «bre» comme ténébreux, la guerre.. Et puis, tant qu’on a la santé, hein ! Moi ça va plutôt pas mal, sinon. Le taux de mortalité ne risquait pas de m’anonymiser sur une vague caniculaire cette année, faut dire. Ni moi ni personne, d’ailleurs, parait-il. Mais faut pas se plaindre, certaines et certains ont pris des vacances, ont voyagé, traversé les océans et les continents, découvert l’Amérique et s’en sont revenus plus déterminés que jamais à réinventer l’eau tiède. Ils se la sont coulé douce, quoi, les chanceux, les gagnants, les battants, les bronzés de l’an 1… et surtout ils ont tout mis en œuvre pour que cela se sache (on le dit partout, donc ça intéresse tout le monde), haut et fort, qu’ils étaient, sont et seront pour toujours les plus beaux et les plus riches… sauf sur fond bleu, faut bien des exceptions.
Ouais, quasiment trois mois sans bloguer, le plébéien azuréen aura eu très certainement beau temps, lui !
Ben, justement, c’est tout ça qui contextuellement animera nos conversations, et nous fera rabattre le caquet à bras raccourcis à ce minuscule carnet parisien avec notre majuscule Carnet bayonnais de rentrée. Donc, on va causer de la pluie et du beau temps en croisant les verres de Buzet et de Navarre, ce jeudi 6 septembre 2007, à partir de 19 heures, 19 h 30, à la Taverne de l’Atalante, à Bayonne, sur la Terre qui tourne comme elle peut mais si joliment quand même.
Venez nombreuses et nombreux, les places sont illimitées sur la blogosphère.
Vive l’été permanent* !
* Ne pas confondre avec le réchauffement climatique, le trou dans la couche d’ozone, tout ça !
22:20 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (3)