mercredi, 22 février 2006
Rendez-vous citoyen
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dimanche, 29 janvier 2006
Dernière limite – dead line
Les
Nahitariak
illuminés
Il parait que nous aurions tout le mois de janvier pour formuler et adresser les vœux de bonheur, de réussite sociale et amou- reuse, et surtout la santé, même si, pour l’ensemble des orga- nismes officiels et génétiques, modifiés ou conformes, et pour la presse médiatique et les médias pressés, et les Ministres du dedans comme du dehors, et tous les VIP globalisés, ce rituel se déroule très généralement durant la première semaine ou, au plus tard, avant que ne soient décrochées de nos rues les dernières guirlandes lumineuses. Dead line. Il parait, taratara, tata, mais tout de même je dois avouer qu’un 29 janvier c’est la toute dernière limite, que plus personne n’attendait ces vœux en bleu de la plèbe du blog (à part bien entendu quelques in- conditionnels irrationnels et rêveurs), que la neige qui tombe sur le Pays basque en ce moment suffit à focaliser tous les regards avides de poésie hivernale, que l’essentiel est évidem- ment là, tout entier dans ces petits flocons virevoltant au vent gris et blanc du hasard météorologique (merci pour tes prévi- sions, Bertrãn). Tout le reste ne serait que velléité…
Mamour est de très bonne humeur en ce moment, hier soir, à l’Atalante, elle a vu le meilleur film de l’année 2006. Souvent, comme ça, elle est péremptoire, championne du catégorique toutes catégories. «Tout est illuminé», dont je ferai peut-être une note si mes doigts cinéphiles se désengourdissent un peu, est un film «trop trop bien», c’est ce qu’elle a écrit au tableau entre deux grosses fleurs dessinées à la craie blanche et, très en verve, a failli illustrer son propos d’un aphorisme alainien… euh, «Le pessimisme est une humeur, l’optimisme est une volonté» ou quelque chose dans le genre, mais il n’y avait plus la place. Ce n’est pas plus mal. D’ailleurs, Alain n’est pas particulièrement un copain, le philosophe je veux dire, alors je n’ai pas insisté sur le sujet de la volonté, ou à peine, juste en lui rappelant que durant des mois et des mois, en 2004, avant de la «connaître», c’est Gramsci qui affichait la nécessité de «savoir tempérer le pessimisme de la raison par l’optimisme de la volonté» sur le bureau de mon ordi. Que la volonté et patati c’était le moteur et patata, la révolution, tout ça c’était optimis- me et compagnie. Bref, on était d’accord, Mamour et moi, tout illuminés de l’intérieur rien que par la force de nos volontés conjuguées pour cette occasion toute neuve. Elle a tout de même rajouté que «c’est con d’avoir déjà le meilleur film de l’année dès le mois de janvier»…
J’ai cherché dans le dico. Et je n’ai pas trouvé. Ça doit être une sorte de néologisme qui signifierait, en français, quelque chose entre «les volontaires» et «les velléitaires» : NAHITARIAK. Ou alors les promoteurs de la volonté, mais rien que par optimisme et rien qu’en bleu, et anonymement, c’est quasiment inexpli- cable conceptuellement parlant sinon, promoteurs de volonté, inassumable, trop dangereux philosophiquement, beaucoup trop ambigu pour être sincère. D’ailleurs, je crois que je n’oserais jamais les interroger sur leurs évidentes contradictions, les Nahitariak, tellement ils m’ont l’air déterminés à les nier. Bien sûr, je vais me faire engueuler pour avoir piraté au bleu de cobalt cette photographie historique que bien peu parmi mes chers lecteurs de ce si joli blog auront su reconnaître. Peu importe. Iconoclaste et provocateur du virtuel, voilà comment peut-être j’aurais envie que certains me qualifient pour vouloir inventer du réel, ou réinventer, je ne sais plus. C’est tout simplement que j’ai envie que ce soit vrai, cette histoire de conférence de presse clandestine des Nahitariak. J’ai envie de les faire exister ces bonhommes bleus (pareil qu’au milieu c’est une plébéienne clandestine, une bonne-femme bleue, difficile à dire, non ?), d’être le seul et unique bloggueur convié à leur cérémonie des «JE VEUX» qui se serait tenue dans le plus grand secret quelque part sur la Côte basque. Très envie.
Je veux,
tu veux,
nous voulons
C’est par ces mots que le (la ?) porte-parole des Nahitariak a débuté son allocution, d’une voix nasillarde vraiment impossible à podcaster : JE VEUX, tu veux, nous voulons que tu nous écou- tes, d’abord, dit-elle en se tournant alternativement vers son arrière-garde de gauche et de droite pour obtenir l’acquiesce- ment de ses comparses. Vieux motard que j’aimais, en ce 29 janvier 2006, il ne sera jamais trop tard pour parler d’amour, de vie et de partage. Et de raison, oui, de raison, JE VEUX parler de raison, bien assis sur ces convictions libertaires qui ne pourront jamais se passer d’égalité et de fraternité. La raison du plus fort a toujours été, est et sera toujours celle de la déraison. La raison ne peut et ne pourra jamais être assujettie à la force… poil au torse, hum, ça c’est moi qui l’ai pensé très fort mais bien heureusement j’ai su m’abstenir d’interrompre aussi incongrûment le propos liminaire des Nahitariak… Jamais… Raison… Liberté… les mots sont martelés, elle, oui là je m’en convaincs, c’est une plébéienne qui parle au nom de ses camarades, qui dit JE quand le NOUS derrière elle approuve tout sourires et gravité sous les cagoules.
JE VEUX que la justice de l’État français libère Filipe Bidart. Tout de suite. Et Peio Serbielle aussi. Et Daniel Derguy, et Jacky Esnal. Et Robert Arrambide. Et Beñat Sansebastian. Et Txistor, bien sûr, tout de suite, y’en a marre de cette haine en réponse, marre. Libérez-les tous. Les Jean-Marie, les Jon, Patxiku, Thier- ry, Gaxuxa, Didier et Argi, libérez tous les Basques embas- tillés au nom du Peuple français au seul titre qu’ils veulent, que nous voulons, que JE VEUX exprimer ma basquitude en toute illégalité puisque être Basque n’est pas possible, pas autorisé. Être Basque, se revendiquer Basque, c’est forcément vouloir l’éclatement de la grande nation française une et indivisible, selon nos juges oppresseurs, donc forcément vain. Forcément. Comme revendiquer un État pour les Palestiniens reviendrait forcément à vouloir la destruction d’Israël. Par exemple. Tout aussi vain, voire suicidaire, n’est-ce pas ! Difficile de vouloir quand on survit dans une cage… JE VEUX aussi donc, tout de suite, un vrai État pour les Palestiniens, même si, malheureu- sement, le vert des drapeaux ne peut signifier qu’une cruelle illusion aveuglante. JE VEUX une Palestine libre et indépen- dante, avec le Hamas au pouvoir, tout simplement parce qu’il n’y a pas d’autre solution raisonnable. JE VEUX que cessent toutes les souffrances que les maîtres du monde maquillent de terrorisme. Liberté pour tous les prisonniers politiques basques, en France et en Espagne, en Belgique, au Québec et au Mexique. JE VEUX revoir libres, tout de suite, Unai Parot et Mattin Bilbao. Et puis les copines et copains d’Action Directe aussi. Tous les plébéiens de l’Italie révolutionnaire, ceux de Grèce et du début de l’Histoire, et puis toutes celles et tous ceux dont les médias dominateurs ignorent ostensiblement l’existence. JE VEUX que tous les murs de prisons soient visibles depuis la Lune et que l’humanité toute entière en ait honte…
Ça grésille tout à coup dans le micro, me voici le témoin d’une intense émotion, j’imagine que sans ce filtre électronique je pourrais sûrement reconnaître la voix inoubliable de Zoé Varier. Fantasme. En plein paroxysme déclamatoire, mon héroïne se met maintenant à tousser des JE VEUX. Comme des JE VEUX dans la soupe populaire à la table du grand soir. JE VEUX enfin faire la connaissance du Sous-commandant Marcos, de Ronan Flaberty, de Carla Mahanani et de Françoise Lecoeur, je ne sais plus même quels sont leurs vrais noms, et peu importe. JE VEUX pouvoir comparer les mérites d’une cagoule de pure laine vierge tricotée avec des doigts basques, irlandais, mexicains ou haïtiens, par exemple. Elle s’apaise enfin et semble rire sous les mots ponctués d’un esprit farceur qui, je le regrette, doit m’échapper. Je devrais prendre des notes mais je ris car- rément, au lieu de. Je ris parce que, face à l’urgence, il y aura toujours encore plus urgent que l’absolu et que là, la Dame en bleu, dans son micro aphone, me demande ce que je veux boire. Et derrière la plébéienne aux yeux bleus, les plébéiens en armes rient aussi en musique, au son de l’Internationale qui peut aussi se chanter en langue basque. Bil gaitezen borrokan… Elle dit que c’en est fini des JE VEUX pour cette année 2006. Elle se lève. Tout le monde rit maintenant, tout le monde a dû voir comme moi le film de Liev Schreiber. Je cherche le comptoir sous l’ikurriña* et je me lève aussi. Un verre de vin, un verre devin rouge et des cacahuètes, siouplait. Trinquons à l’amour et à la vie, à la future libération de Filipe, de Peio… et des autres. Navarre ou Buzet ? qu’elle me demande de préciser en nous tendant des verres du même plastique que les mitraillettes.
Le plébéien bleu
* Nom en langue basque du drapeau inventé par Sabino Arana Goiri.
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mercredi, 25 janvier 2006
Cérémonie des voeux à l'Atalante
Les bloggueuses et bloggueurs bayonnais avec leurs amis et/ou voisins (ainsi que toutes les sous-marinières et tous les sous- mariniers de ces dits-blogs) se réuniront pour la première fois de cette encore nouvelle année 2006, demain soir, à partir de 19 heures ou 19 h 30 (la polémique sur l'heure précise du ren- dez-vous, quoique moins vivace semble persister), à la dite Ta- verne du cinéma l'Atalante, sis rue Denis Etcheverry... quelque part sur la planète bleue qui s'évertue à tourner autour du soleil, et ce même quand ce dernier est réputé couché sous le ciel de Bayonne (mais en fait une étoile ne se couche jamais, c'est comme les vrais héros, du moins au cinéma). Ils en pro- fiteront, que dis-je, nous en profiterons pour présenter officiel- lement tous nos voeux à la presse qui suit si assidûment les phénomènes de "mode" tels que celui de l'émergence des blogs citoyens, par exemple, à toute la population, à nos fans en par- ticulier (je pense là tout particulièrement aux milliers d'anony- mes qui ont voté pour le plébéien bleu à l'Euskal Web d'Or --Phil, par contre, je ne te remercie pas) et à la cantonade qui ne manquera pas d'être nombreuse, voire même très nom- breuse pour l'occasion. Nous y causerons donc publiquement et sans vergogne, la bouche plus ou moins pleine de belles idées, de bons sentiments et de quiche au maroual, nous y dévoi- lerons le fond et jusque l'arrière ban de nos pensées les plus avouables. Venez nombreux, il y aura peut-être des cacahuètes à l'apéro.
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mardi, 03 janvier 2006
En janvier fait ce qu'il te plait
Et surtout la santé !
Bon, je ne vais plus trop tarder à reparler de choses sérieuses sur ce si joli blog tout bleu. Mais pas encore tout de suite. Ces dernières semaines, et ce pour de simples raisons purement électoralistes, je me suis abstenu de publier des notes polémi- ques comme parfois je m'étais laissé aller à le faire afin de dé- montrer toute l'amplitude de ma liberté de parole. Et c'est peu dire. En cette période des fêtes (mais victoire absolue de la cul- ture marchande), je me suis dit qu'il serait vraiment de bon ton de me bleuir dans le consensus ambiant, euh, dans le consen- sus plébéien bien sûr. Oui, car je n’ai quand même pas renoncé totalement à mes guerres, disons que je m’en suis payé deux petites tranches, comme ça, par gourmandise et puis à cause aussi de ces nerfs nerveux qui m’électrisent si souvent l’en- tendement. Mouais, je n’ai jamais compris ce que cela signifie mais il paraîtrait, que je serais, selon de si nombreuses mau- vaises langues, un individu extrêmement réactif, plutôt du gen- re soupe au lait, si vous voyez ce qu’ils veulent dire par là... Bref, avec cette histoire d’Euskal Web d’Or, je ne me suis pas fait que des amis. Dans un premier temps, il aura fallu que j’aille férailler avec les rugbypèdes de la Peña Baiona, puis avec les surfeurs exhibitionnistes (ou voyeurs, c’est selon) des 3 sites qui ont fini par trôner en tête du tableau d’honneur concocté par le Phil Pourravausse. En vain. Je ne rappellerai pas les divers épisodes de cet épique donquichoterie plébé- ienne, il vous suffit pour mémoire de relire mes notes du mois de décembre. Mais je me dois quand même de préciser que je n’étais pas seul dans le coup à faire tournoyer les moulins de l’amitié au milieu des flonflons de la farce. Y’avait Boris de Baiona, y’avait le Pete de la Causa, et le Marco de Donibane, et puis, plus discrets, le Pimentalai et les amis bloggueurs d’Ezpe- leta ; ils se sont coalisés avec tous leurs carnets d’adresse au complet… et le plébéien bleu a failli gagner. Failli. À un jour près, disons. Par contre, je n’ai pas failli me mettre en colère, je l’ai carrément joué emphase terminale, c’est la lutte et, de- main, l’Internationaaaaale pendra les aristos à la lanterne, tous-ensemble-tous-ensemble-tous… Et je l’ai fait. Et mes potes pareils. On a gueulé au scandale partout où ça pouvait faire du bruit. Et ça en a fait. Beaucoup de bruit même, surtout dans le landernau. Pour rien évidemment. Car l’essentiel, n’est-ce pas, c’est tout de même la santé ! Et tant qu’on a la santé… le top 50 grimpe, grimpe, grimpe…
PS. Dans les résolutions pour 2006, il va falloir que je songe très vite à faire la paix avec Phil de cotebasque.net
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(On va en avoir besoin...)
Et voici pour commencer en douceur cette année 2006, une spéciale dédicace pour Maddi qui nous a envoyé cette si jolie carte de voeu (avec autorisation de la publier).
Et puis, pour ne pas perdre le nord dans toutes ces cartes que l'on reçoit par internet désormais, celle que m'a adressée Christophe. Aller, bon pour publication :
23:55 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 31 décembre 2005
Bientôt l'heure des voeux
19:10 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1)
vendredi, 30 décembre 2005
Ma vengeance sera terrible
Tremblez
portails
mercantiles
Depuis le 15 de ce mois, grosso modo, mon si joli blog tout bleu était en campagne pour l'Euskal Web d'or. Ce n'était qu'un jeu, au départ tout du moins, et j'avoue que, jusqu'à hier, nous nous sommes pas mal amusés, nous les coalitionnés du Carnet bayonnais. Nous comptions d'ailleurs bien nous amuser encore jusqu'à la dernière minute décrétée du jeu, c'est à dire jusqu'à demain minuit, ou plus exactement le 1er janvier 2006 à 0 heure. Mais Phil (l'organisateur autrement nommé Maitre Pourravausse) a préféré tricher jusqu'au bout et interrompre la course dans la journée d'aujourd'hui, je ne sais même pas à quel moment, alors que nous avions mobilisé et armé toutes nos troupes afin de remonter jusqu'à la première place du palmarés dans les dernières minutes. Nous étions quasiment assurés de la victoire et le suspens était à son comble... Bref, j'écris présentement cette note pour clamer haut et fort à la face du monde virtuel que ce concours était bidon et bidonné, que son organisateur ne mérite plus que je le salue, et même pire, d'ailleurs, de ce pas, je m'en vais fermer son portail et ouvrir tout grand aux quatre vents de la rancoeur les vantaux de mon si joli blog tout bleu et tout pur, lui.
A chaud, quand j'ai pu me reconnecter, à 17 heures, et constater la vilenie, je me suis précipité sur le forum de cotebasque.point.net et m'y suis fendu d'une saine et salutaire colère. Devinant que le vil Phil camouflera sa honte dans la censure, je preproduis ici le texte intégral de mon premier acte de vengeance :
Alors là, le Phil, va falloir que tu prennes le maquis !
Je veux bien que tu triches à mort et que tu places tous tes petits copains, mais là, t`en as fait un peu trop. Vraiment pas cool du tout ton truc !
De toute la journée il m`a été impossible de me connecter sur ce foutu bourrier d`internet because le câble était coupé sur le BAB. Donc impossible de savoir ce qui s`est passé dans cette "dernière journée" que tu n`avais pas annoncée. Ouais car ton jeu aurait dû se poursuivre jusqu`au 31 décembre minuit, et là je ne sais pas exactement quand, mais tu l`as arrêté sans informer quiconque d`autre que tes petits copains surfeurs. Et dire que, moi et tous mes camarades bloggeurs nous nous étions raisonnés pour ne pas tricher, pour ne pas te les exploser tes compteurs. Et on a eu tort. Désormais, finis les scrupules : ça sera la guerre, la plèbe d`internet va se soulever contre toi et ton portail commercial... et les têtes couronnées vont tomber. Sur nos pics qu`on va les exhiber dans les rues de Bayonne, vos têtes aux mèches décolorées. La guerre, Phil, c`est la guerre.
Je ne te salue pas.
Rancunièrement tien,
Le plébéien bleu de colère
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mercredi, 28 décembre 2005
Carnet bayonnais n° 4
Tous ensemble,
tous ensemble,
pour gagner
l'Euskal Web d'or
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dimanche, 25 décembre 2005
Le photographe de Sarkozy
voudrait bâillonner la liberté
d’expression sur l’Internet
Le 19 décembre 2005, le 9ème collectif des sans-papiers et Act Up-Paris lançaient l’affiche « Votez Le Pen », avec un portrait de Nicolas Sarkozy pour dénoncer la guerre menée aux étrangèrEs et la dérive du ministre de l’Intérieur vers un discours et une politique d’extrême droite toujours plus affirmée. Une affiche largement collée dans les rues de Paris et disponible en téléchargement sur le site Web d’Act Up-Paris.
Le 21 décembre 2005, les représentants légaux du photogra- phe, utilisant des menaces de poursuites judiciaires pour «con- trefaçon» d’une photographie de Sarkozy, ont contraint Act Up-Paris de retirer le visuel de cette affiche de son site Web...
J'appelle toutes les lectrices et lecteurs de ce si joli blog tout bleu à télécharger les fichiers de cette affiche et à les diffuser le plus largement possible afin d'imposer notre liberté d'expres- sion puisque cela devient de jour en jour de plus en plus nécessaire.
20:55 Publié dans Blog, manifs, politique | Lien permanent | Commentaires (5)