dimanche, 30 octobre 2005
En attendant ce que décideront
MM. les Maires du Pays basque nord
Quoi de neuf à Ezpeleta ?
Ils voudraient bien
notre avis sur la question
Mes voisins bloggeurs de EZPELETA GURE HERRIA viennent de publier les résultats du dépouillement venant d'avoir lieu en mairie d'Ezpeleta. Il s'agissait de compter pour le principe le nombre de Maires du Pays basque nord favorables à l'organi- sation d'un référendum au sujet de la création d'un dépar- tement basque. Au passage, je note avec étonnement le lapsus commis par mes amis départementalistes qui font état, pour leur part, d'un référendum relatif à la création d'un département Pays Basque et Béarn, c'est à dire celui déjà existant des Pyré- nées Atlantiques (?). Voici donc les chiffres qu'ils publient :
Nombre total de communes : 159
Nombre d'enveloppes de scrutin : 131
Résultats - Emaitzak :
OUI- BAI : 63,87% NON - EZ : 36,13%
OUI - BAI : 76 votes
NON- EZ : 42 votes
BLANC - XURI : 11 votes
NUL : 1 vote
Je note également qu'aucune précision n'est pour l'instant con- nue quant à la représentativité des Maires favorables à la tenue du réfrendum. Voilà, nous, abertzale (patriotes basques), pour- rons donc désormais nous engager l'esprit serein en soutien aux actions de désobéissance civile qui ne manqueront pas de ponctuer l'actualité politique du Pays basque nord. 4 + 3 = 100
21:20 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (10)
mercredi, 05 octobre 2005
Bloggeurs bayonnais
Rendez vous !
Vous êtes cernés
Ça fait chic d’appeler ça «le Carnet bayonnais», certains diront prétentieux… Laissons dire, tous les commentaires sont, en thé- orie, autorisés sur la planète bloggueuse ; notre caravane virtu- elle fera donc halte dans la réalité des soirées bayonnaises ce jeudi 6 octobre 2005, à la taverne de l’Atalante, dès l’heure apéritive. Combien serons-nous ? Ann (la tavernière des jeu- di) vient de me demander un chiffre, combien de bloggueurs, surtout combien de quiches, combien brandades ou de moussa- kas ?... Je n’ai même pas eu la présence d’esprit de lui de- mander le menu de demain soir… Oui, nous devrions être cinq au moins, je l’espère, les cinq que nous étions déjà le 10 sep- tembre dernier, plus peut-être des copains et copines, des compagnes, ou d’autres bloggueurs, je sais pas, ils doivent être au courant… Je pense à Georges de Ezpeleta gure herria qui n’est pas trop loin de Bayonne, quand même. À Marc de Pimentalai aussi, mais St Palais (il écrirait son blog depuis la région d’Amikuze il me semble) c’est bien loin. Voilà pour les ceusses qui figurent déjà en lien sur mon si joli blog tout bleu. Mais il y en aurait pas mal d’autres. Et je fais le pari que plu- sieurs nous honoreront de leur présence en cette première édition officielle du «Carnet bayonnais». Ouais ça sonne bien décidément, Carnet, Car.net, Moto.net, Skate.net, Roller.net, Vélo.net, tout peut se décliner ainsi jusqu’au Pied-de.net du Comptoir.net. Convivialité, un point, c’est net. Et vive la chaleur du bout des doigts des humains qui pianotent sur leurs claviers d’ordi, bordel ! En fait, pour cette première rencontre, nous n’avons absolument rien préparé (tout du moins à ma connaissance), on s’est juste dit que ça se- rait bien de se retrouver de temps en temps dans une am- biance chaleureuse qui contrasterait utilement avec la froideur de nos écrans d’ordinateurs. Et puis on s’est dit aussi qu’on allait le dire. Sur nos blogs of course. On allait assurer notre propre pub collective individuellement. Chacun chez soi et la taverne pour tous ! En voilà donc une grande prétention, s’affi- cher désormais dans un lieu public ! Tomber nos masques de pixels et se demander ensemble à quoi bon tout cela. Demain, le bleu de la vie sera aussi dans les verres, venez donc trinquer avec nous !… ou davantage, si affinités.
PS. N’oubliez pas de me contacter pour réserver votre quiche, ou téléphonez directement à l’Atalante avant de venir (ça se décongèle à l’avance, la quiche !) : 05 059 55 76 63
Je suis bloggeur bayonnais et je m'ennuie generalement les jeudi soirs (en particulier en octobre et en debut de mois), mais que pourrais-je donc faire ce jeudi-ci, 6 octobre 2005, a partir de 19 h |
01:35 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (3)
jeudi, 29 septembre 2005
Où se procurer son "télextincteur" de poche ?
Armez-vous et zappons !
Toutes les personnes que je rencontre à la sortie du Désentubages cathodiques sont systématiquement regonflés à bloc, enchantés tout particulièrement par la combativité des Tivibigoneurs et cherche partout le moyen de se procurer cette zapette miracle censée "effacer" les entu- bages de plus de 80 % écrans cathodi- ques. Enthousiasmé moi-même, j'avais mis en lien (dans ma note de la semaine dernière) le site où l'on pouvait se le procurer. Eh bien, malheu- reusement, le site doit être en dérangement (je n'ai obtenu aucune information à ce propos)... mais, heureusement, le plébéien bleu a les réflexes encore bien affûtés. En effet, j'avais pris la précaution (du temps où il était encore possible de se connecter) de noter sur mon carnet le mode opératoire. Je vous conseille donc de noter à votre tour. Il vous faudra vous munir d'un carnet de chèques, d'un stylo, d'une enveloppe, d'un tim- bre et éventuellement une feuille de papier afin de joindre un mot de soutien. Sur le bout de papier où vous aurez précisé vos coordonnées, vous devrez écrire : "Je deviens membre de soutien de Zaléa TV pour un montant de 22 euros et je reçois un TvBeGone". Voilà pour la "formule magique". L'adresse à inscrire sur l'enveloppe, c'est : ZALEA TV BP 50 75921 Paris cedex. Je n'ai pas la moindre idée quant aux délais de livraison mais je peux par contre vous dire que le port est compris. Vala. Je m'en vais poster ma commande de ce pas.
00:20 Publié dans Blog, Shopping | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 11 septembre 2005
Les bloggeurs bayonnais
se débaillonnent à l'Atalante
The Bayonne-Carnet
Pour info, une pré-rencontre préparatoire à l'instauration (ou pas) d'un Bayonne-Carnet (ou quelque chose d'approchant, qui reste à déterminer) se tiendra aux Remparts Mousserolles s'est tenue, à Bayonne, en marge de la projection en plein air du film "Carnets de Voyage". Le rendez-vous aura lieu vers 20h30-21h, près de la table des inscriptions à l'association de l'Atalante. Merde ! il pleut... repli stratégique a eu lieu à 22h à l'Atalante, à la Cafet’ Taverne, réunissant Le Blog de Sophie (dont j’ai déjà eu le plaisir de faire la connaissance pendant les fêtes de Bayonne) et Ultimateclem que je n’ai pas eu la chance de voir, kNo', Moris Dia, et mézigue. Alors, nous nous sommes dit que la Taverne de l’Atalante serait désormais notre point de rencontre, une fois par mois, à 19H30, autour d’une quiche ou d’une lasagne (d’un Buzet ou d’un Navarre ?), chaque lendemain de la sortie de la Gazette de l’Atalante, soit le jeudi suivant cette fameuse parution. Enfin bref, nous étions vachement contents de savoir que le jeudi 6 octobre prochain, à 19H30, nous pourrions nous la quicher lasai sur la mort, le moi blog, le nœud string… Bienvenue, si le blog vous en dit.
23:25 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 06 septembre 2005
Comment se loger décemment
près d’un office du tourisme ?
Le Pays basque n’est pas…
Le jeudi 11 août dernier, un quidam ano- nyme aurait découvert, dans une pou- belle toute proche de l’office de tourisme de Bayonne, une bombe artisanale toute aussi anonyme mais, selon les sources officielles, bien peu explosive. Bon. L’évé- nement n’a rien de si extraordinaire que ça, même si… et même si… Des engins explosifs ou réputés tels faisant long feu, ce n’est pas chose rare en Pays basque nord, surtout ces dernières années. Il ar- rive même parfois, mais là beaucoup plus rarement, que ceux- ci fonctionnent et occasionnent des dégâts matériels. Ces der- niers temps, manifestement en lien avec une crise du logement sans précédent décuplée par un niveau de spéculation immo- bilière encore jamais atteint, plusieurs agences immobilières ainsi que des complexes hôteliers ou résidentiels ont été ciblés par les poseurs de bombes. Parfois avec succès. Mais encore jamais, tout du moins depuis (faudra que je vérifie) des lustres et des lustres, un office de tourisme n’avait été visé. Faudra que je vérifie aussi l’existence de poubelles publiques aux abords du bâtiment bayonnais visé par cet attentat car, il me semblait bien que, depuis fort longtemps déjà, il est devenu impossible de se débarrasser civiquement d’un papier dans la rue. Bref, pendant les quelques jours qui ont suivi cet évé- nement, le landernau médiatique côte basquais aura pas mal spéculé sur l’identité présumée de ses auteurs et, avec le recul que m’autorise le rythme aléatoire de mes écrits sur ce si joli blog tout bleu, quoique très moyennement influencé par cet air du temps-là, durant cette courte période où l’actualité est encore actuelle, j’ai également eu envie de savoir qui et quoi, et surtout à quelle stratégie politique il faut attribuer ce dépôt d’encombrant sur lequel enquête la cellule anti-terroriste du parquet de Paris, poil au quiqui.
Je ne vais pas citer l’organisation qui aurait téléphoniquement revendiqué (revendication que je crois tout à fait crédible, mais là n’est pas mon propos…) cette action en alertant les pompiers, mais juste souligner que le porte-parole de la ligue dissoute en question aurait conclu son avertissement par un impératif «le Pays basque n’est pas à vendre». Bon. Outre que ce slogan manque quelque peu de modernité à mon sens, à première vue, je trouve que la ligne stratégique d’une condamnation franche et déterminée de la spéculation immobilière perd en lisibilité ce qu’elle gagne en confusion en prenant pour cible un objectif matériel spécifiquement orienté sur la promotion touristique en général. En clair, un office de tourisme ne fait pas le même boulot qu’une agence immobilière. Et tous les boums n’ont pas le même sens. Bon. Ceci dit, il est vrai que quand on s’oppose à la marchandisation du Pays basque (ne suis-je pas moderne ?), cela ne concerne pas seulement le foncier ou l’immobilier, le label «Euskal Herria» recouvre tout, tout et même le reste, depuis le fromage de brebis à la confiture de cerises noires jusqu’aux «innovations» en provenance de la technopole Izarbel, en passant par les danses du groupe Luixa à Béhobie ou carrément les fêtes de Bayonne… À ce propos, et tant qu’à spéculer sur le sexe des poubelles piégées, il me semble qu’une telle stratégie symboliste aurait été renforcée dans son efficacité par une «explosion promotionnelle» AVANT les fêtes de Bayonne, juste quelques jours avant, disons une semaine, dans l’idéal. Mais je me fourvoie très certainement quant aux véritables motivations du ou de la ou des poseurs de bombe. À cause d’une toute petite difficulté de lisibilité je me mets à tout mélanger, à mettre tout sur le même plan, dans le même sac, le tourisme vert à la ferme et les golfs dix-huit trous avec vue imprenable sur les Pyrénées, les fonctionnaires impuissants de l’office HLM et les 95 kollabos d’Orpi, les gentils de Kukuxumusu et les mercantiles de 64, les corridas en août et le surf en février, le Musée basque de Bayonne et le Mac Drive de St Jean de Luz, le prix d’une bouteille d’Irouléguy et celui d’une cartouche de cigarettes à Dantxaria… les limites sont parfois bien confuses mais il faut toutefois bien comprendre que refuser de vendre son pays ne signifie nullement s’opposer à la marchandisation de son image identitaire. D’ailleurs, hein, cette frontière au milieu du Pays basque, nous les Basques, nous n’en voulons pas. Parfois je me trouve un peu cynique… et confus autant.
Toujours à propos de tourisme, de Pays basque à vendre ou à marchandiser, de 11 août et d’engin explosif, et afin d’illustrer ma conclusion provisoire sur le sujet, je prendrai nettement moins de précautions rhétoriques pour citer un «collègue» bloggeur bayonnais (le label «Euskal Herria» c’est aussi son satellite internétesque gros d’une toute petite dizaine de blogs répertoriés dans l’arrondissement de Bayonne), le seul à s’être permis un commentaire «à chaud», un certain Aitor je crois. Lui aussi c’est «le Pays basque n’est pas à vendre» qui l’aura fait réagir. Là s’affiche notre unique pixel de complicité, car moi, plébéien de condition et bleu de couleur, je ne me suis pas contenté de vouloir réagir, j’ai attendu, j’ai réfléchu et je n’ai écru qu’après avoir essayé de comprendre. Et maintenant je dois avouer que je n’ai pas tout compris. Bien sûr, quand Aitor répond au slogan de Pindar (signature utilisée par les premiers patriotes basques du nord à l’avoir popularisé, dans les années 70, à ma connaissance) par un tout aussi ridicule que méprisant «je croyais qu’il était déjà propriété française», il m’énerve gra- ve et c’est très exactement à la suite de cet énervage virtuel que j’ai finalement compris ce qui me semble devoir être l’es- sentiel de la motivation d’un aspirant saboteur d’office de tou- risme en Pays basque. Quand le bloggeur anonyme (pas moi, l’autre, bien évidemment) prétend tourner en ridicule le slogan patriotique au prétexte que tout le Pays basque serait déjà vendu à la France (et qui donc l’aurait vendu, qui, des noms ?), c’est avant tout et tout simplement pour nier l’existence d’une patrie des Basques. Voilà. Le Pays basque existe-t-il, a-t-il ja- mais existé, existera-t-il un beau jour ou un grand soir ? Là est la question, la vraie question, la seule question serais-je tenté d’exagérer en paraphrasant Shakespeare. Excusez du peu. Au passé comme au présent et au futur, ma réponse est sans am- biguïté OUI. Oui le Pays basque existe et non Aitor, tu n’es pas marrant, je ne dirai pas ce que je pense de ton acuité intellec- tuelle… poils aux aisselles. Bref, une question en entraînant une autre, j’y ai finalement pas mal réfléchi et, afin de m’adapter aux limites imposées par le format de mon si joli blog tout bleu, j’ai choisi de formuler personnellement ma réponse par la pluralité optionnelle d’un QCM.
Le Pays basque n’est pas…
(cliquez sur votre réponse)
1° ) à vendre.
2° ) à louer.
3° ) français.
4° ) ni espagnol.
5° ) béarnais.
6° ) bleu.
22:50 Publié dans Blog, écrits sur fond bleu, politique | Lien permanent | Commentaires (4)
vendredi, 22 juillet 2005
Mamour va sauver le Monde
Il faut supprimer l'argent
Cela fait des semaines et des semaines que je multiplie les stratégies afin d'inci- ter Mamour à participer un peu plus ac- tivement à mon si joli blog tout bleu, je lui rédige des notes quasiment rien que pour elle, je lui écris des poèmes, et j'exagère aussi exprès pour tenter de la faire réagir, pour la pousser à cliquer sur le lien "commentaires"... en vain ou presque. Et pourtant, je vous jure, des choses passionnantes, elle en aurait à écrire, sur tous les sujets, à tous les propos, et même les plus "sérieux", les plus "fondamentaux". Ainsi, ce matin, alors que nous débattions sur des problèmes essentiels concernant l'humanité tout entière, tout en prenant notre petit déjeuner un peu après 11 heures, elle me lâcha, comme ça, un tantinet sentencieusement tout de même : "C'est l'argent. Y'a qu'un truc à faire, supprimer l'argent et tout sera réglé".
Bon, je ne pouvais quand même pas lui dire qu'elle avait tort, hein, je ne pourais jamais dire un truc aussi méchant (et aussi faux en même temps) à la Femme de ma vie, à ma Douce, ma Dulcinée quand je joue les Don Quijote, je ne pouvais quand même pas lui parler du troc, tout ça... elle me rétorquait déjà que sans Argent il n'y aurait pas de Marché, et sans Marché (le Dieu omnipotent des capitaliste) il n'y aurait pas de religion Libérale, etc... CQFD et tutti quanti. Bref, ça m'a donné l'idée d'ouvrir une nouvelle rubrique sur ce blog : Mamour va sauver le Monde.
J'y évoquerai (jusqu'à ce qu'elle se décide à réagir, hum) ses sentences les plus définitives comme ses coups de colère ou ses coups de coeur. Tiens, ce matin, autre coup de sang de ma bien aimée, Danone : "On s'en fout de Danone" que je l'ai entendue s'écrier en consultant la presse sur internet, sûre- ment, alors que moi, dans la salle de douche, je tentais de ne pas me couper en me rasant. Et puis il y a eu cet article... ça m'a aussi mis en colère. Colère impuissante, j'en conviens, mais, bon, quand même, au pays de Schwartzy la réalité dé- passe les fictions les plus noires.
Le plébéien bleu
12:10 Publié dans Blog, Mamour va sauver le Monde | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 20 juin 2005
Faut payer pour être joli
Le bleu c'est plus cher !
Après une matinée de vains bataillages et face à l'impossibilité de communiquer avec un quelconque humain de cette plateforme HautetFort qui accueille mon si joli blog tout bleu, j'ai dû me résoudre à voir la réalité en face : mon abonnement PAYANT me donnait droit à 50 MO de capacité --là j'avais encore pas mal de marge puisque je dépasse à peine les 20 MO-- et à seulement 1 GO de bande passante. En consultant mon tableau de bord, j'ai constaté que ce mois-ci j'avais déjà consommé 2 GO de bande passante, d'où très certainement le plantage. Dur-dur.
Donc, comme je n'ai pas l'habitude de tergiverser des heures, j'ai souscrit un abonnement plus conséquent. Je passe de 5 à 11 € par mois, hum-hum, je crains d'être désormais devenu ce que les spécialistes du commerce appellent un client captif. Malaise.
Bref, tout ça "par la faute" de ce joli diaporama sur mes vacances à La Bourboule que j'avais intégré à ma colonne de gauche... Maintenant que j'ai souscrit pour 250 MO de capacité et 5 GO de bande passante, je devrais pouvoir le remettre. Et d'autres aussi...
Le plébéien captif
12:40 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2)
Gros bug sur HautetFort
Mon si joli blog tout bleu n'est plus du tout joli comme le plébéien bleu le voudrait. C'est la faute à un gros bug sur la plateforme HautetFort.
J'espère que ses gestionnaires sauront solutionner au plus vite ce problème. Dans cette attente, je prie mes si gentils visiteurs tout bleus de ma pardonner pour ce ponctuel désagrément.
Le plébéien qui va comme un canut
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