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Merci de nourrir les poissons en mon absence

mercredi, 18 avril 2007

Laurence ♥ Ségolène

Rumeur bénigne ?

 

Cette fin de campagne pour le premier tour de LA présidentielle est bien calme. Trop calme peut-être… mais, bon, je ne vais pas vous la rejouer style « Y’a-t-il un pilote dans l’avion », vraiment pas mon style ! Et pourtant, toutes ces dernières semaines, le grand barnum démocratique des mots crades semblait pouvoir faire vaciller l’édifice. Coalition de rumeurs en tous genres et de rumeurs sur LA rumeur la plus maligne qui puisse s’imaginer, rumeur qui en se vérifiant allait tout foutre en l’air nos certitudes ifopisées. J’en bavais presque de frustration. Presque. Et puis, là, plus rien. Heureusement que l’actualité internationale met les bouchées doubles et nous distrait quotidiennement de notre impuissance citoyenne à savoir pour qui va voter mon voisin dimanche prochain ! Oui, en effet, c’est bien pire ailleurs… mais ça pourrait être pire ici aussi et, malheureusement, nous ne serons pas davantage fixés sur notre sort collectif au sortir des urnes que nous ne le sommes alors qu’on nous invite à nous y abriter du chaos et de la fin du monde inéluctables. Ouf ! Mais la question essentielle demeure : Quand ? Mais quand donc ?

J’ai scruté scrupuleusement toute la toile jusqu’en son centre où m’attendait l’épeire des révélations, croyais-je. Et je ne rien trouvé. Rien de rien. Que du silence blablateux et vice versa !... Et puis, enfin, il y a eut cette jolie histoire d’amour, pas vraiment politique, faut pas tout mélanger, hein, une histoire que j’aimerais vraiment qu’elle soit vraie tellement elle a l’air vraie, qu’intuitivement, je connaissais déjà avant que…

Je ne sais plus exactement à quel moment j’ai entendu ou lu pour la première fois cette rumeur, ni si elle a commencé d’abord à l’apéro chez moi et si nous l’avons ensuite découverte quelque part sur internet… ou peut-être le contraire. C’est tout de même un peu embêtant quant au recoupement des sources, pour vérifier l’info, tout ça. Mais, bon, je ne suis pas journaliste, et, même si en tant qu’internaute citoyen je suis responsable de ce que je publie, je n’ai jamais confondu mon si joli blog tout bleu avec une quelconque Pravda. Et puis, comme cette rumeur là est à mon goût parfaitement bénigne, je ne vois pas pourquoi je me priverais de la colporter… d’autant que, si elle pouvait participer à l’édification des masses en une quelconque mesure, j’aurais là peut-être accompli mon unique acte citoyen de cette campagne électorale que je prétendais boycotter...

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jeudi, 08 février 2007

Au secours !

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Mouais, une fois de plus, la fente des urnes sera bien trop étroite pour laisser passer l'espoir. Le scrutin de l'élection présidentielle en France ne concerne nulle- ment le projet de société démocratique auquel la plèbe persiste à rêver en bleu. Alors, si en avril je ne me découvrirai pas d'un fil, en mai non plus ! Vala, pareil que j'en causerai plus de ces élections pièges à cons sur mon si joli blog tout bleu ! 

vendredi, 17 novembre 2006

Le racisme ordinaire m'agace

 

Nouvelles pas

 

frêches

 

 

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Grâce à l’ami Moris, je suis tombé sur cette note de Je Blog… et bien entendu, je ne peux que me déclarer d’accord, mais… Mouais, ça m'agace plutôt cet "exercice" qui consiste à rappeler, à chaque fois qu'il est question de racisme, l'exemple juif, l'exemple unique, la seule référence… Bref, je ne vais pas prendre le risque de me faire traiter d'antisémite... alors, bien sûr, sur le fond, il est évident que ce genre de déclarations vraiment pas frêches du tout est insupportable, inacceptable, condamnable, et caetera et crescendo. Il en va ainsi pour tout ce qui relève de ce que l'on appelle le "racisme ordinaire", le «bruit et l’odeur», tout ça… car en l'occurrence, même si il s’agit ici d'un élu, d'un politique de renom, responsable de premier rang, la véritable question, le problème fondamental réside dans la réponse à donner pour désamorcer ces arguments qui s'insinuent si facilement dans les cerveaux ordinaires (dans le mien comme dans le tien, camarade). Ben oui, c’est vrai, quoi, sur 60 millions de Français, il y a combien de noirs, 2-3 millions, à tout casser… sans compter les clandestins, évidemment, ah-ah-ah-ah… Au prorata ça ferait même pas un remplaçant en équipe de France… Ouais, du simple bon sens, du calcul mental, pas du racisme, hein, surtout pas du racisme. A part que, la réflexion sensée elle n’a de sens, là, que parce que sur un terrain de foot, le noir ça ressort vachement sur le vert de la pelouse. Tiens, ça me rappelle, à une époque pas trop lointaine encore, il y avait un Basque en équipe de France. Un Basque sur onze. Soixante millions divisé par onze, ça fait combien, euh, 5454545, approximativement… euh même avec le Pays basque sud, qui est Espagnol, en plus, on est à peine la moitié… et si on compte que les Français, disons dans les 230000, et 100000 à tout péter si on peaufine le prorata au niveau de ceusses qui sont réellement Basques, Basques d’origine, 100 % bouffeur d’ardi gasna. Et si en plus on considère le fait que le footballeur en question était surfeur, le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a eu grave et concomitante surreprésenta- tion. Très franchement, s’il avait été Biarrot au lieu d’Hen- dayais, en sus, ma remarque sombrerait totalement dans le ridicule.

Bon, ceci dit, bien évidemment, tenter de tourner le «racisme ordinaire» en ridicule ne peut malheureusement suffire. Il faut le dire et le répéter sans cesse, ne jamais baisser la garde, ne jamais laisser une attaque raciste sans riposte : Lizarazu n’a jamais été le «basquignol de service» en équipe de France, jamais.

Le plébéien bleu

lundi, 11 septembre 2006

Le 11 septembre bleu :

 
 
Le Hamas disculpé

 

Le Hezbollah, Sadam Hussein et peut-être même le célèbris- sime Mollah motard Omar seraient également innocentés par les services secrets occidentaux (hormis les américains et israéliens, bien entendu). Les vrais coupables présumés de la déclaration de guerre à la civilisation se feraient de moins en moins nombreux, semble-t-il. Toutefois, il y a aujourd'hui très exactement 5 ans, jour pour jour, à part que nous étions un mardi, c'était jour de marché à St Jean de Luz... 

 

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lundi, 19 décembre 2005

Allez-y poussez, poussez,

Les avants de Bayonne

 

 

L'Aviron avec nous

 

 

Allez-y poussez, poussez

Les avants de Bayonne

Allez-y poussez, poussez

Les avants bayonnais

Bayonne, Bayonne

Sur la Nive et sur l'Adour

Bayonne, Bayonne

 

Bayonne de nos Amours

 

Mademoiselle

Faites vous belle

Votre galant viendra ce soir

S'il vous embrasse

Faites lui grâce

S'il vous mort

 
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Qui osera dire que le Plébéien bleu n'aime pas le rugby (même professionnel) et ne soutient pas le projet de nouvelle tribune couverte au stade municipal Jean Dauger de Bayonne pour y accueillir les nombreux amis bleus et blancs du valeureux Pottoka. Personne. La preuve, j'ai écrit au webmaster du site de la Peña Baiona. Et, pareil que l'an prochain j'adhérerai au club des supporters bayonnais de l'Aviron et proposerai une nouvelle mascotte pour tenir compagnie à notre joyeux et culbutant ponney basque. Ci-dessous le texte intégral de ma plébéienne requête :
 
 
Alors comme ça, à la Peña Baiona vous vous montez tous seuls le bourrichon, vous vous figurez pouvoir emporter le Web d'Or 2005 ?

Je ne voudrais pas vous désobliger mais il me semble bien que vous vous fourvoyez. Primo, il me parait indis- pensable de remettre les choses et les véritables en- jeux à leur véritable niveau, c'est à dire celui de la Côte basque. Il ne s'agit pas du Web d'Or pour lequel vous concourez mais de l'Euskal Web d'Or. Le détail n'est pas mince. Mais peut-être que la signification du mot "euskal" vous échappe ?... Aller, disons que je taquine.

Bref, l'essentiel n'est peut-être pas là. L'essentiel est que nous, les Bayonnais, nous trouvons malheureuse- ment, et ça ne s’arrange pas, plus de 1000 votes der- rière les surfeurs angloyes et... biarrots. Oui, j'ai bien dit biarrots. C'est grave. Très grave. Très très grave, même. J'espère réussir à vous en faire prendre consci- ence tant qu'il en est encore temps. À mon humble avis, nous ,Bayonnais, n'avons plus qu'une seule alternative si nous voulons éviter l'humiliation : n'oublions pas que nous avons un rang de Capitale du Pays basque à tenir ! Nous unir. Re-bref, je vais tâcher d'être concis dans ma proposition. En clair, je vous propose donc de vous dé- sister à mon profit, au profit du Plébéien bleu, je veux dire, et bien entendu de faire campagne pour mon si joli blog tout bleu. Soyons sérieux, pragmatiques, vous n'avez aucune chance de l'emporter, par contre, si vous vous mobilisez vraiment et que je parviens à fédérer toute la fougue et la puissance internautesque des Ba- yonnais (et de nos très nombreux amis), l'honneur sera sauf. Et, je le dis comme je le pense, tous ensemble, tous-ensemble-tous-ensemble-tous-ensemble, nous le gagnerons ce putain de boudiou d'Euskal Web d'Or qu'il nous met sous le nez, le Phil, rédios ! Voilà. En un mot comme en cent, votez pour moi, votez pour Bayonne, votez pour l’honneur et la dignité basques.

Merci d’avance.

 

Le plébéien bleu

 

PS. Soyez cool, quoi, votez pour le Plébéien bleu, tous les jours jusqu'au 31 décembre.


vendredi, 14 octobre 2005

Les Droits de l’Omelette aux Cèpes

 

Tentative

 

d’empoisonnement

 

électronique

 

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En ces temps de récession, de régression civilisationnelle (que j’ai horreur de ces mots ! dans ma bouche ils ont le goût et le nom latin des champignons mortels), l’affaire du «bracelet élec- tronique mobile» ne parvient pas à soulever de vaguelette d’indignation plus haute que celle des privatisations en série (et multirécidivistes) ou des sans-papier-sans-emploi-sans-loge- ment ou des charters de Schengen avec leur cargaison de vo- yageurs menottés ou de toutes les guerres de conquêtes éco- nomiquement horribles ou que ce soit, ce sont les basses eaux de la résistance face aux tsunami de la résignation… poil au menton. Mais demain, bien heureusement, on rasera gratis. En effet, le seul «vrai débat» qui ait agité les assemblées de dé- putés et sénateurs français concerne le coût d’investissement de ces bracelets et le prix de revient quotidien de la surveil- lance en comparaison de celui d’une journée d’incarcération ordinaire. Voilà tout l’enjeu de cette nouvelle mesure sécuritaire pour les matons de l’ordre actionnarial, il doit y avoir du fric à faire sur tout, tout est bon à privatiser, à capitaliser, même et surtout la peur, la peur du gendarme comme celle du violeur sérigraphié en rouge ketchup. Seule la rentabilité fait discus- sion, on doit pouvoir connecter le bracelet aux centaines de ra- dars automatiques sur les routes et faire ainsi de substantielles économies de bouts de chandelles, mon ami Pierrot ; quelqu’un quelque part saura bien tirer profit de cette nouvelle idée de génie : le plébéien bleu brasse des idées, gratis. Des idées bleues bien sûr, je cède bien volontiers et généralement au consensualisme, mais avec de bien vilains reflets noirs comme la poudre d’escampette. Idées noires aussi, carrément, avec des reflets de maison bleue recyclée, la dictature annoncée d’un trop certain Minicolas Narkozizi, je la vois tous les jours davantage dans les «réformes» fomentées et imposées par ses concurrents et néanmoins collègues en manipulation de l’opi- nion. Et précisément, cette opinion, elle semble bien majori- tairement favorable à ce nouvel empoisonnement électronique de la liberté. Qui plaindrait aujourd’hui un «délinquant sexuel condamné à au moins 5 ans de prison», qui se préoccuperait de ses libertés individuelles, personne… ou alors je veux des noms, levons donc l’omerta qui protège encore les complices des Droits de l’Homme !

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Bon, il se trouve que la loi anti-récidive qui va être votée par le Parlement français prévoit de passer le bracelet, dans un pre- mier temps, à tous les détenus purgeant une peine égale ou supérieure à 5 ans (avec possible rétroactivité, rien n’est en- core décidé à ce jour) et pouvant faire l’objet d’un suivi ou d’une surveillance judiciaire «particulière». Voilà. Il n’y a mani- festement pas assez de violeurs en France pour permettre à cette nouvelle petite entreprise capitaliste de distribuer des bénéfices satisfaisants à ses voraces actionnaires, alors on amendera les dispositions législatives pour élargir le marché, euh, disons, aux «terroristes» et à leurs amis (en Pays basque, le marché développera sans peine une «niche» des plus ju- teuse), pour commencer. Qui s’en plaindrait ? Quel «droit de l’hommeux» osera encore dénoncer Vigipirate, hein ? Des noms ! Et puis, très bientôt, on pourra peut-être enfin passer le bracelet aux «délinquants syndicaux», à ceux qui s’acharnent à vouloir faire grève pour un oui ou pour un non (surtout pour un non, d’ailleurs), et aussi à tous les tire-au-flanc, aux chômeurs indemnisés, aux fainéants, aux abstentionnistes de tous poils, à ceux qui ne sont pas contents et à ceux qui le sont trop pour être à jeun, aux drogués et aux fumeurs de «nuit grave»… Et puis on pourrait faire des bracelets de couleurs, que l’on ren- drait visibles, fluorescents, ostentatoires, mais tout de même moins que les étoiles à 6 branches cousues dans la mémoire collective de l’horreur inégalable. Bien sûr, il ne faut pas tout confondre, tout mélanger, nous sommes bien d’accord, le bra- celet servira à protéger les citoyens honnêtes, les actionnaires de la prochaine nouvelle petite entreprise qui commercialisera la machine à voter. Et puis, tiens, le bracelet, on pourrait peut- être aussi le passer à ces foutus trouveurs de champignons, ces haïssables amoureux de la nature automnale, ces enfoirés de promeneurs dilettantes qui, dans les sous-bois humides, font peur à nos chasseurs férus de tradition. On suivrait ainsi sur un écran d’ordinateur, tous ces cueilleurs anarchisants, à jamais inaptes à la recherche de profits exponentiels et infinis… et leurs coins à cèpes ou à girolles pourraient enfin et défini- tivement être privatisés grâce à des kilomètres de barbelés réglementaires et électroniques. À voir l’inflation pratiquée ces derniers jours sur le prix du bolet en supermarché, je me dis que Michel édouard Leclerc a probablement déjà eu cette pen- sée avant moi. Bref, ce matin, j’ai trouvé des champignons, trois très exactement et vous ne saurez pas où. Un coin à champignons, ça ne se dit pas.

 

Le Bolet bleu de Satan

vendredi, 09 septembre 2005

«Je suis de tout cœur avec vous»

Jacques C. n’est pas mort

 

Chantez-moi donc la Marseillaise avec la main sur le coeur, je vous prie !
cliquez sur l'image

 

Super bonne nouvelle aujourd’hui, tout du moins pour ceux qui s’intéressent à la vie démocratique française présentée par les «organes du spectacle de l'ordre mondial capitaliste» : le Prési- dent de notre république bananière est vivant, pire il est même en super bonne santé, super bronzé, super bavard, plus super menteur que jamais, bref, la super méga pêche !  à part que, peut-être lui reste-t-il encore comme un petit truc dans l’œil, mais rien, juste un petit voile, ou un tic de plus, ça ne fera qu’ accentuer son sex-appeal. Bon. Sinon, ce genre de nouvelles, fut un temps, du temps de l’ORTF par exemple, du temps où les gouvernements comprenaient des ministres de l’Information en leur sein, si la qualité du bronzage présidentiel n’entrait pas dans votre ordre prioritaire de préoccupations, il était possible de zapper, comme on dit. Ben, maintenant, on peu plus. Faut éteindre sinon rien. Ça devient carrément insupportable ! Au- jourd’hui France Inter a choisi d’interrompre en direct ses émis- sions à la seconde où monsieur Jacques Chirac est sorti de l’hô- pital militaire du Val de Grâce, tout sourire sous les sunlights. Ils n’auraient pas fait mieux s’il était sorti, par malheur, les pieds devant. Là je suis carrément dégoûté, même pas en- vie de me moquer, de tirer de ce non-événement la substantifique moelle du ridicule absolu. Ce coup-ci, c’est le sérieux de l’in- formation qui est définitivement mort… et il n’y aurait, semble-t-il, que l’équipe de France de football pour pleurer sur sa tombe.

 

Le plébéien bleu

mercredi, 06 juillet 2005

C’est à Ba-ba, c’est à Yo-yo...

C'est à Neu-neu, c'est à Bayonne :



Bayonne élue à l’unanimité

des plébéiens bleus

pour accueillir

les Jeux Olympiques 2012



Grand OUF de soulagement ce midi à 13 h 49 : ce sera donc Bayonne, plus précisément un des quartiers Nord les plus hup- pés, London, qui accueillera la XXXème édition des olympiades dites modernes. J’avoue très franchement et sans plus aucune pudeur stylistique que j’étais carrément bleu de terreur au mo- ment où le président du CIO, en direct devant plusieurs millions de journalistes hystériques, Jacques Rogge a décacheté l’enve- loppe contenant le nom de la ville élue par les Maîtres du Monde et de ses anneaux de couleurs. C’est à Ba-ba… c’est à Yo-yo… c’est à Neu-neu a-t-il ânonné, m’arrachant un cri de joie et de résurrection tout autant mêlés que tonitruants. Oui, plus l’éché- ance approchait, plus je sentais monter en moi l’évidence des sept années de malheur que signifierait pour la tribu des plé- béiens bleus la désignation de Paris... Paris se rhabille présen- tement, les paillettes et les confetti seront bien vite balayés alors que moi je mets la dernière main à l’arc de triomphe que j’ai improvisé, Argote street, pour célébrer comme il se doit le salvateur événement.

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Il m’aura fallu près de trois heures pour redescendre de mon petit nuage, grâce à Jacques Chirac, je ne serai pas tout de suite obligé de prendre le maquis ou contraint de vendre mon âme à coca-cola ou à mac’do. Oui, c’est Mamour qui me l’a dit, je pou- vais la remercier, remercier les 82 % d’électeurs français qui avaient voté pour Jacques Chirac en 2002. Alors merci Mamour, merci d’avoir supporté ma surtension de toutes ces dernières heures. Merci les Jacques, Rogge et Chirac, merci les Pierre et les Paul aussi, merci le Tour de France qui saura bien vite con- soler les 87 % de Français qui « souhaitaient » ces J.O. à Paris plutôt qu’à Bayonne. Ils m’auront sans nul doute sauvé la vie. En 1998, déjà, par la simple faute d’une allergie au Mondial de foot-ball j’avais été lapidé par ma famille même. D’ici 2012, j’avais 7 années, près de 2600 jours pour me faire écorcher vif, trucider, assassiner deux mille six cent fois. OUF ! Ce n’est probablement que partie remise, mais tant qu’il y a de la vie, y’a de l’espoir… et l’essentiel c’est de participer, non ?

Le plébéien bleu-blanc-beurre

PS. Jean Grenet écourtera-t-il ses vacances en Corse pour venir fêter à Bayonne Nord, comme il se doit cette joyeuse victoire de la Plèbe bayonnaise sur le parisianisme olymfric ?...
Le pape de Livinhac est également cordialement invité, bien en- tendu, à venir "bénir" nos réjouissances à Argote street !