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dimanche, 24 décembre 2006
Elfe joyeux,
Noël heureux !
Eguberri on deneri !
22:55 Publié dans Blog, cadeaux | Lien permanent | Commentaires (6)
vendredi, 22 décembre 2006
Vive le Carnet bayonnais !
Bon, les compte-rendus, c'est vraiment pas mon truc. Après tout, depuis le temps que vous venez et revenez sur ce si joli blog tout bleu, que vous cliquez sur tous les liens que j'ai mis dans les colonnes de droite et de gauche pour calmer votre frustration de ne guère trouver de nouveauté dans celle du milieu, que vous surveillez le diaporama des films à voir cette semaine (que j'oublie de plus en plus souvent de mettre à jour, hum) et entrez sur le forum de l'Atalante pour constater que le clone du plébéien n'y est pas beaucoup plus actif, depuis tous ces mois où vous étes environ 250 à me rendre quotidienne- ment visite dans mon home sweet home de la blogosphère, je le clame haut et fort (mouais), nul n'était censé ignorer que la dernière édition du Carnet bayonnais pour 2006 vous donnait rendez-vous hier soir, à partir de... disons 19 h 30, à la Taverne de L'Atalante, 7, rue Denis Etcheverry, à Bayonne, au quartier St Esprit, entre la gare et la prison. Alors, tant qu'à choisir, hein, vous auriez dû faire le bon ! Les absents ont eu indubitablement tort.
Il n'est que regarder attentivement cette photo que j'ai extraite du magnifique reportage que je ne publierai ni ici, ni ailleurs, d'ailleurs, ne cherchez pas, les bienheureuses et les bienheu- reux (ralala je m'enlise dans le mysticisme sans honte aucune) étions 14 à table, le nombre magique, deux fois plus fort que le "zazpiak bat" (je vous expliquerai à l'occasion), pas un de plus, pas vous, quoi. Bref, hein, ça donne sacrément envie, hein, ces jolies assiettes, là, hein ! Les desserts de Madame Talante, ralala, de quoi se damner !
C'est fait.
Cette place était celle de k'No qui n'a jamais su choisir entre fromage et dessert. Encore moins quand on lui suggère de s'en mettre plein la lampe avec gâteau basque, tarte aux pommes, ou/et à l'ananas et à la noix de coco, crêpes à l'orange... Et il n'a rien laissé. Donc, hein, si vous étiez venus, il ne serait rien resté pour vous. Alors, hein, finalement, pareil que vous avez bien fait de persister dans votre pitoyable boycott de notre génial Carnet bayonnais. De toutes façons, même si nous n'avons pas eu le temps d'aborder l'inacceptable situation judiciaire de Filipe Bidart, même si nous n'avons pas guerroyé à propos du département basque ou des futures élections pié- geuses de cons faute d'opportunité réthorique (poil au dos), vous vous seriez très probablement ennuyés en notre compa- gnie. Alors, hein, faites comme d'hab', continuez à venir me visiter virtuellement sur ce si joli blog tout bleu, comme si de rien n'était. Le jeudi 11 janvier prochain, en 2007, ne venez pas, restez bien au chaud chez vous devant votre écran d'ordi- nateur, d'ailleurs pareil qu'il pleuvra à verse ce soir-là, c'est sans vous que nous recommencerons à banqueter joyeusement en tirant des plans sur la comète à propos de wifi et de rien. Ouais, ad vitam aeternam, les absents auront tort, sauf s'ils sont en prison... ou qu'ils ont un train à prendre.
20:20 Publié dans auto-congratulation, Blog, copinage | Lien permanent | Commentaires (7)
jeudi, 14 décembre 2006
Soutien à Gure Irratia
URGENT
Les nouveaux locaux de la radio en langue basque Gure Irratia situés à Ustaritz ont été ravagés par un incendie dans la soirée du 5 décembre. Tout est aujourd'hui à reconstruire. Une campa- gne de soutien a été lancée afin que la radio puisse réémettre dans les plus brefs délais.
Un combat de 25 ans réduit en cendres
Un coup dur pour les salariés et les sympathisants de Gure Irratia. 25 ans d'un travail sans relâche, d'un projet généreux visant à offrir aux auditeurs une radio de qualité en langue basque, est aujourd'hui réduit en cendres. A la veille d'un anniversaire qui devait se célébrer le 24 décembre, afin de rendre hommage à tout le chemin parcouru par cette radio associative, un mauvais sort s'est abattu sur les locaux très récemment inaugurés par la radio à Landagoyen (Ustaritz). Un espace où les neufs salariés de Gure Irratia avait enfin les moyens de leur ambition.
Appel à la solidarité
L'Institut culturel basque a mis une adresse postale à dispo- sition pour recueillir les dons du public :
Gure Irratia - BP6 - 64480 UZTARITZE
Compte bancaire : Euskadiko Kutxa 3035 0059 8705 9005 2623
20:00 Publié dans elkartasuna-solidarité | Lien permanent | Commentaires (1)
mardi, 12 décembre 2006
Euskal Web d'Or 2006
L'an dernier, nous nous étions battus comme des lions et, moralement, c'est certain... nous avions gagné. Nous, tous les bleus de la plèbe, et nos amis, connus ou inconnus... Mais à quoi bon ruminer les ridicules rancoeurs, comme dirait le Vicomte de Bragelone, l'essentiel est de s'être vengés. Et maintenant nous pouvons donc passer à autre chose.
Cette année, Phil, le gourou webesque de la côte, a sélectionné pour l'Euskal Web d'Or, et sur la blogosphère, très proche de nous, à Bayonne nord, un ravissant blog tout jaune qui mérite le détour de clic ainsi que tout notre soutien : Festival Baiona. Pas trop la peine que j'explique pourquoi, mais n'hésitez pas un seul instant, votez et faites voter, tous les jours, jusqu'au 31 décembre.
Gaffe quand même, Phil peut interrompre le concours et tricher à sa guise, c'est lui le Maître unique de cérémonie. C'est juste un jeu, hein, mais il est si important que nous soyons les vainqueurs, hein, que cette fois il ne nous aura pas, la victoire nous est d'ailleurs déjà acquise... L'Or c'est jaune, non ?
22:05 Publié dans Blog, copinage, réclame éhontée, Web | Lien permanent | Commentaires (8)
vendredi, 08 décembre 2006
Bye bye Txori beltz*
Ça m’est revenu comme ça, du coq à l’âne, en jonglant avec des mots incongrus, dans ma tête. Hier. En arrivant à L’Atalante. Je n’avais pas encore lu la presse, ni vu les infos locales de FR3. Rien. A peine si j’étais obnubilé par l’évidence de ma défaite. Je serai le seul à lever le bras pour ce non si vain d’honneur, ce non au «principe de réalité», si vilement démocratique : lance ridicule brandie sous une «triste figure» au milieu d’un champ d’unanime inertie souriante. Qu’y puis-je encore ? La messe est dite… l’inéluctable fatalité, implacable, inexorable… à quoi bon m’entêter ? Ramuntxo s’en va, Sylvie arrive… Agur Jauna ! Ave Maria ! Oups, lapsus, sourire, auto- dérision. Je vous salue Sylvie ! Sylvie de Hasparren au Pays basque, pas Marie la Juive palestinienne. Sylvie Larroque. Oui, honneur à l’impétrante, la nouvelle directrice artistique. Honni soit l’empêtré !
Et c’est quoi donc cette histoire de messe ? L’assemblée géné- rale ordinaire de l’association Cinéma & Cultures serait-elle une messe d’enterrement et la passion cinéphilique une veuve joyeuse ? Je suis en plein délire de tristesse…
18:50 Publié dans Cinéma, écrits sur fond bleu | Lien permanent | Commentaires (3)