vendredi, 01 janvier 2010
Rétrospective 2009
18:17 Publié dans Voeux et résolutions. | Lien permanent | Commentaires (1)
samedi, 26 décembre 2009
Eguberriko oparia - Cadeau de Noël
Un vraiment magnifique cadeau de Noêl pour les internautes basques !
14:51 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 15 novembre 2009
Des Cubaines aux voix de jade
17:38 Publié dans copinage, Musique | Lien permanent | Commentaires (1)
samedi, 14 novembre 2009
Rions un peu avec La Vie
BIZI-ren aurpegia ?
A l'heure où pas mal de mes camarades et ex-camarades expriment de plus en plus de dubitativité face au "phénomène" BIZI ! en Pays basque nord, et ne comprennent plus trop bien le pourquoi du comment il faudrait (ou pas) se réjouir de la "taxe carbone", par exemple et entre autres, faute de mieux, il n'est jamais inutile de se payer une bonne tranche verte de rigolade en visionnant et revisionnant "le vrai visage de Daniel Cohn-Bendit"...
12:11 Publié dans Grave-patrie | Lien permanent | Commentaires (1)
mardi, 10 novembre 2009
Cluzet parle de Salah Hamouri
Invité sur France 2 dans l'émission « 13h15 » dimanche dernier, l'acteur François Cluzet a déclaré : « Salah Hamouri c’est un Français qui est en prison en Israël pour délit d’opinion. Nicolas Sarkozy a déclaré j’irais chercher n’importe quel Français quoi qu’il ait fait, où qu’il soit…. ». Une parole entendue par 3 millions de téléspectateurs.
Face à lui, le journaliste Laurent Delahousse et Jean François Copé Député et président du groupe UMP à l’Assemblée Nationale affirment ne pas connaître le cas de Salah. Monsieur Copé ne connaît pas Salah ! Pourtant, un comité de soutien qui rassemble entre autre une centaine de parlementaires de toutes les composante politique à vu le jour il y a un an et plusieurs courrier lui ont été adressé...
11:45 Publié dans elkartasuna-solidarité | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 04 octobre 2009
Une semaine à Biarritz
Des pingouins
et des cinéphiles
Une semaine de vacances à Biarritz pour se repaître les yeux, les oreilles et un maximum de tous mes sens de la vie, c'était ma foi une bien bonne idée que m'a soufflée Audrey, même si, sur plus d'un point, cette dix-huitième édition du festival des cinémas et cultures d'Amérique Latine m'aura grandement déçu, voire carrément mis en colère. Ce n'est évidemment pas franchement une nouvelle (sauf pour moi qui y assistais pour la première fois) mais, si le public festivalier s'avère vraiment très nombreux, les réels cinéphiles n'étaient pas légion cette année à patienter dans les turbulentes files d'attente aux portes de la Gare du Midi, du Royal ou du Casino municipal. La majorité des dilettantes que l'on reconnaît d'un jour sur l'autre exhibe ces badges bleus qui pour la modique somme de 55 € donne droit à consommer avec boulimie tous les films à toutes les séances (quatre-vingt dix séances payantes au total, chaque film étant projeté deux fois en moyenne, il est évidemment impossible de tout voir mais nombreux parmi les badges bleus tenteront toutefois de relever la gageure, quitte à sortir avant la fin d'une séance pour courir d'une salle à l'autre et ainsi « rentabiliser » au maximum leur « investissement »).
22:16 Publié dans Festival Biarritz Amérique Latine | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 28 septembre 2009
Festival Biarritz Amérique Latine
Demandez le programme !
Équipe de choc et de charme en reportage au cœur de cet éternel nouveau continent de l'hispanité qui palpite annuelle- ment aux pieds de la côte des Basques, dix-huit heures trente ce lundi 28 septembre, nous voici un peu perdus, Audrey et mézigue, au milieu du majestueux hall d'entrée de la Gare du Midi. Le bureau des accréditations presse s'il-vous-plait madame, à droite monsieur, là, juste à côté, qu'elle nous répond la très importante hôtesse d'accueil du déjà si fameux 18ème Festival Biarritz Amérique Latine Cinémas et Cultures, excusez du peu. Autrefois nous disions Le festival latino, ou latino-américain, c'était selon. Mais là, depuis dix-huit ans, ça a changé, c'est mieux qu'autrefois, sûrement et indubitablement, et je ne suis toujours pas au courant du pourquoi du comment de ce persistant frisson de nos élites culturelles qui, finalement, ne m'importe guère davantage aujourd'hui qu'hier. Il y a juste que je suis là cette année sans trop savoir pourquoi d'autre que pour mon seul plaisir égoïste de cinéphile... et qu'il nous faut vite grimper avant dix-neuf heures au deuxième étage afin de retirer ces passes officiels qui nous permettront de circuler librement en son sein durant toute la durée du festival. Très gentil et souriant le monsieur, très compétent aussi, sans nul doute, qui nous remet nos petites cartes vertes à exhiber au- tour de nos cous respectivement de choc et de charme. Dans le même temps, avec toute la documentation de présentation, il nous offre à chacun un ravissant et studieux cartable rouge et noir (couleurs du Biarritz non olympique je le rappelle) ostensi- blement sponsorisé par TV5MONDE dont j'ignorais jusqu'alors la valeur de son immense travail de francisation de tous les ciné- mas du monde. On se présente avec franchement chaleureuse poignée de main à l'appui, sourires et enchantements mutuels déclamés sur un registre un tantinet au-delà de la simple politesse professionnelle. L'ambiance est plutôt détendue à une heure de la cérémonie d'ouverture.
22:58 Publié dans Festival Biarritz Amérique Latine | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 05 septembre 2009
Soutien à Jean-Michel Ayçaguer
Le 17 janvier 2008, à l’appel d’ELB (Confé- dération Paysanne du Pays Basque) et du GFAM Lurra (aide à l’ installation des jeunes paysans), deux cents personnes se rassem- blent devant les locaux de la Safer Pays Bas- que (gère le foncier rural). La Safer doit donner son avis sur l’avenir de la ferme Kako, exploitée depuis près de 3 ans par un jeune qui en demande l’acquisition ; il est soutenu par ELB. Au dernier moment, la Safer opte pour une autre candidature, arrivée hors délai. Après une légère bousculade avec les gendarmes, les manifestants obtiennent qu'une délégation soit reçue par les membres de la Safer. 15 jours plus tard, la réponse répressive arrive avec six arrestations, dont celle de Jean Michel Ayçaguer, militant syndical. Le procès donnera lieu à des condamnations de 2 à 4 mois de prison avec sursis pour 3 militants, des amendes pour les trois autres.
Jean Michel Ayçaguer (deux mois avec sursis) a refusé durant sa garde à vue d’autoriser une prise d’ADN. En décembre dernier, les gendarmes viennent le convoquer à nouveau. Il subit une garde à vue de quelques heures mais maintient son refus. C’est pour avoir refusé la prise d’ADN qu’il passe en jugement le 29 septembre prochain.
Pour soutenir Jean-Michel Ayçaguer, signez la pétition en ligne !
19:51 Publié dans elkartasuna-solidarité | Lien permanent | Commentaires (0)