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Merci de nourrir les poissons en mon absence

dimanche, 25 novembre 2007

Aitoréador contre la vache Kutzu...

dimanche, 28 octobre 2007

LA LETTRE A BALLADUR :

21:05 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1)

jeudi, 11 octobre 2007

OEuvre de mémoire et...

 
 

Donc, ce jeudi, aujourd'hui, quoi, c'est au moins le 25ème rendez-vous du Carnet bayonnais à l'Atalante qui, par la même occasion, célèbre festivement son 2ème anniversaire. Le Car- net bayonnais, je veux dire. La plupart de mes collègues et col- lègues blogueurs en ont déjà causé sur leurs blogs respectifs et ça serait bien la mort si, très chères et très chers lectrices et lecteurs de mon si joli blog tout bleu, vous n'étiez pas au cou- rant. Mais, bon, si vous persistez à venir me visiter malgré tout le bleu de ces derniers mois, c'est vraiment qu'à l'information essentielle sur ce rendez-vous il vous manquait la petite note d'originalité, d'audace et d'impertinence qui fut, depuis plus de deux ans et demi maintenant, la signature authentifiant tous les textes du plébéien de cobalt. Bref, j'ai beau me creuser les narines, rien de bien différent... à part peut-être vous suggérer d'arriver un peu plus tard que d'habitude, ou alors de trainer un peu plus longtemps à l'apéro car nous ne pourrons pas passer à table avant 20 h 45, et ce pour des raisons un peu trop digresseuses pour être évoquées ici... Ben, peut-être que j'apporterai des cahouètes ou des pistaches pour nous aider à patienter... Ou une autre surprise... Peut-être... Comme lors du premier Carnet bayonnais, vous vous souvenez ?

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01:20 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1)

dimanche, 23 septembre 2007

Tchao l'artiste !

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12:10 Publié dans Hommage | Lien permanent | Commentaires (1)

vendredi, 21 septembre 2007

Proibido proibir

En exclusivité...
 
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Et juste pour détendre un petit peu l'atmosphère dans la perspective d'une soirée peut-être trop calme, le plébéien bleu vous propose en exclusivité le nouveau look de Sébastien Chabal. Je ne sais pas vous, mais moi je vais au ciné ce soir : à l'Atalante, il y aura l'avant-première du Festival des cinémas et cultures d'Amérique Latine à partir de 19 h 30. Un buffet copieusement garni tentera de "consoler" les ovalirésistants et autres âmes en peine. Proibido proibir, même pas la peine de traduire, je suppose, c'est un superbe film brésilien qui sera programmé... peut-être vous en parlerai-je un peu... après. Je devrais aussi vous inciter à aller voir le superbe film d'Audrey Estrougo, Regarde-moi.

Y' a pas à dire, la terre tourne de moins en moins rond en ce moment ! Moi je préfère fuir, pour cette soirée dédiée aux rubipèdes je veux dire, avant que le ciel ne me tombe sur la tête. 

Le plébéien d'azur 

dimanche, 16 septembre 2007

Remodelage et mises à jour

 

TRAVAUX 

 

 

Après des mois et des mois d'une injustifiable hibernation esti- vale, ce si joli blog tout bleu va peut-être reprendre quelque activité. Mais, bon, les résolutions, on sait tous ce que c'est, ça va, ça vient... il n'y a que les actes qui comptent... et j'en ai tout de même posé quelques uns, des actes, pour tenter de re- conquérir un début de crédibilité sur la blogosphère bayonnaise. D'abord, je crois m'être décidé pour un remodelage un petit peu définitif de la présentation de mon blog perso (je ne vais plus trop tarder à présenter ici mes autres blogs, disons un peu plus collectifs, faut juste que je créé une nouvelle rubrique pour ça) : le blog du plébéien bleu doit vraiment être tout bleu, et maintenant il l'est. N'est-il pas encore plus joli et touchy ainsi ? N'hésitez surtout pas à me laisser des commentaires de félici- tations et d'encouragement ! Je suis sûr que j'adorerai.

Bon, le chantier de rénovation ne s'arrête pas à l'aspect global, j'ai entamé une sérieuse remise à jour des colonnes qui pren- dra probablement encore quelques semaines. Je viens ainsi de compléter la rubrique du Carnet bayonnais en y corrigeant cer- tains liens obsolètes ou déficients, et surtout en y rajoutant tout ceux qui manquaient. Je cite, et en vrac, le Clément qui semble lui aussi à nouveau rempli de jolies résolutions pixellisées sur le tout nouveau blog personnel qu'il vient de fabriquer de ses doigts experts ; mon obsédé préféré des petite fleurs et des papillons, PRAX, qui nous met le bleu aux joues avec ses peti- tes histoires à lire dans toutes les positions ;  notre Manu qui s'exerce un peu trop épisodiquement à explorer le côté obscure de la farce ; et puis CAT qui s'entête à vouloir tempérer l'optimisme de la raison par le pessimisme de la volonté, et tout ça pour que les mots et les images se dénudent en beauté ; et aussi RIOTGIRL qui pixélise comme une championne en dégai- nant son APN sur tout ce qui bouge ; et encore pas mal d'autres petits nouveaux et moins nouveaux que vous découvrirez en cliquant dans la colonne de droite... Ne manquez pas de rentre visite régulièrement à tout ce joli petit monde !

Le chantier continue, donc, et il me reste toujours et tout de même l'essentiel : remplir cette fichue colonne du milieu qui, de stagnation en glaciation, persiste à bleuir de trac dans l'attente d'une inspiration si prétentieuse ! 

18:15 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2)

lundi, 10 septembre 2007

De Sicko et de Michael Moore

Bonne rentrée...

 

bonne santé !

 

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Je ne sais pas vous, mais moi, quand je discute de cinéma avec des amis d’enfance que je n’avais plus vus depuis, pouf, au moins quinze ans, c’est systématique, les amis en question me confient que, oui, franchement, tant qu’à voir un film et devoir payer pour ça, même si c’est à l’Atalante, bien sûr, autant que ce soit pour le plaisir. Ouais, rigoler un bon coup, ou au moins sourire, se distraire (selon le sexe de l’interlocuteur(trice), quelques détails supplémentaires de mise en scène spécifiquement indispensables peuvent s’avouer sans trop rougir), passer un bon moment, quoi. Et surtout pas se prendre la tête, ou pleurer sur toute la misère du monde qui, personne n’oserait le nier, est évidemment plus révoltante et universelle que jamais, mais, bon, chaque chose en son temps, n’est-ce pas, ça fait combien qu’on s’était pas vus, pouf-pouf, je sais plus… c’était à une manif je crois… pour Seaska… ou pour les prisonniers… oh non, c’était en 95, tu te souviens, 1995, au siècle dernier, quand on occupait la gare d’Hendaye, cheminots et chômeurs ensemble… Non-non, c’est bien plus récent, c’était d’ailleurs à l’aube de ce troisième millénaire, en 2002, et c’était sous une affiche de cinéma, Bowling for Columbine. Un Michael Moore, comme aujourd’hui. Ouais, on s’était même bien engueulés à son propos. Ouais, avec Michael Moore on n’est jamais vraiment déçu, pire, on se prendrait presque d’affection fraternelle pour les Amerloques. Enfin, pas tous, bien évidemment. Faut choisir son camp. Et avec Michael Moore, c’est tellement démonstratif que l’on ne peut guère hésiter au-delà du premier quart d’heure de film avant de, pour le moins, maudire tous les Roger, Georges W. et autres maîtres consorts de la terre… sauf à être un fan absolutiste de la controverse.

Robert a adoré le film. On s’est retrouvés, après la projection, à la Taverne de l’Atalante, devant deux verres de bière joliment faux-colisés. Il dit que c’est sans nul doute le meilleur de Michael Moore. J’ai hésité un instant mais je n’ai finalement su qu’en rajouter en opinant qu’il aurait bien mérité la Palme d’Or à Cannes, ce Sicko-là. Mais son film n’était pas en lice, qu’il m’a cloué, le Robert… et puis, 4 mois, 3 semaines et 2 jour, le film de Cristian Mungiu la méritait sans le moindre conteste, cette Palme 2007 ! Ouais, n’empêche qu’encore une fois, le Michael m’en a foutu plein la poire, et avec le sourire en plus. Plus cyniquement humain que jamais, il parle aux Européens pour mieux interpeller les Ricains et il cible l’Américain moyen pour plus lucidement encore nous interloquer. Ça me rappelle une discussion avec un ami qu’il va falloir que j’envoie voir ce film sans faute. Il me disait comme ça, là, sans réfléchir, si tu avais la possibilité de choisir, si tu devais impérativement choisir entre, la santé, la liberté ou l’amour, qu’accepterais-tu de sacrifier pour préserver l'essentiel ? Rien, que je lui ai répondu, je refuse de sacrifier quoi que ce soit. Mais tu es obligé de choisir, tu dois sacrifier un des trois. Lequel des trois, hein ? L'amour ? La santé ? Ta liberté, tu sacrifierais ta liberté ? Non, non et non, jamais de la vie !… et surtout pas la santé !

Le plébéien bleu 

23:20 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (2)

mardi, 04 septembre 2007

L’Arche de Zoé au Darfour

 
 
 

 

Voilà quatre ans que dure le conflit du Darfour, à l’ouest du Soudan. Quatre ans que des millions de civils innocents, pour la plupart des femmes et des enfants, sont massacrés, torturés, violés, pillés, affamés et chassés de leurs villages par la dictature islamiste du gouvernement soudanais ou les milices qu’il a armées, les Janjaweeds.

De très nombreux rapports des Nations Unies et de diverses ONG ont dénoncé les atrocités commises sur les populations civiles, les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité perpétrés par les intégristes de Khartoum. Sans effet !

De nombreux médias ont montré au monde entier les images insoutenables de cette population martyrisée, des « people » se sont mobilisés, des collectifs de soutien à la population du Darfour ont été créés dans plus de 50 pays… Mais l’indifférence générale persiste.

L’Arche de Zoé, association humanitaire œuvrant au secours des enfants depuis le Tsunami du 26 décembre 2004, lance une opération d’évacuation des enfants orphelins du Darfour. Elle propose aux familles d’accueil qui le souhaitent de venir en aide et de prendre en charge dans leur foyer un enfant orphelin de moins de cinq ans, réfugié de la guerre au Darfour.

Quelques familles au Pays basque aussi ont répondu à cet appel et, sensibilisé personnellement, je me fais un devoir de relayer ici la campagne de soutien financier d’urgence qu’ils viennent d’initier.

Pour soutenir l’opération d’évacuation des enfants du Darfour, adressez vos dons par chèque bancaire à l’ordre de «Arche de Zoé – Opération Darfour» à cette adresse postale :

L’Arche de Zoé
23 rue Hallé
75014 PARIS